Venant19 , Ou Les Limbes Du Pacifiques
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Re: Venant19 , Ou Les Limbes Du Pacifiques
Yeah ! Va-t-il s'en tirer ? Suspense
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Codez en pensant que celui qui maintiendra votre code est un psychopathe qui connait votre adresse
Re: Venant19 , Ou Les Limbes Du Pacifiques
Génial sauf que tu ne m'a pas prévenu , et donc il y'a des fautes !
Et moi qui voulait êtres correcteur
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Trez515
L'ignorant affirme, le savant doute, le sage réfléchit.
Il ne dépend que de nous de suivre la route qui monte et d'éviter celle qui descend.
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Re: Venant19 , Ou Les Limbes Du Pacifiques
Désolé mais quand je les écrit il était 01h du mat....
- Fortress... A jamais !
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Re: Venant19 , Ou Les Limbes Du Pacifiques
Je suis co a cette heure la xD
Trez515
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Re: Venant19 , Ou Les Limbes Du Pacifiques
Un an que je n'ai pas écris la suite.... ben tiens , pour l’anniversaire , je poste la suite ! Je continue ce RP de mon coté , quand le coeur m'en dis
Chapitre II Une Solitude Brisée
Je sentais qu'il me suivait, et ses pas, beaucoup plus grand que les miens , lui permettais de me rattraper , je fus bientôt essoufflé , et soudainement mon rythme ralenti , je ne courrais quasiment plus , pris d’une douleur intense au niveau du ventre , je ne pouvais presque plus lever les genoux . Cependant, grimaçant de plus belle, je tentais toujours de le semer ; mon acharnement n’avait aucune limite , mais mon corps si… et c’est ainsi que quelques secondes plus tard , tandis que je passais à côté d’un arbre , mes pieds , ceux levant à peine , ce prirent dans une racine !
A terre , le visage dans la boue , je n’avais plus la force ni l’envie de me relever… finalement , j’acceptais mon sort , et , attendant l’instant fatal , je fermis les yeux…
Soudain ; je me retrouvais propulsé dans un autre monde , mon corps resta immobile , mais mon esprit partie dans un endroit d’un blanc immaculé , là , je vis une silhouette s’approchait , comme de quelqu’un portant une longue toge , elle aussi de couleur blanche ; sa face m’étais caché par un épais halo lumineux qui s’émanait de son visage , ébloui , je ne pouvais qu’apercevoir qu’elle portait une capuche , et tandis que je la scrutais , silencieusement , elle s’arrêta à quelques mètres de moi…
Alors que le silence durée depuis quelques secondes déjà, cet inconnu s’adressa à moi :
-Inconnu : Que fais-tu ici , soldat ?
La voix féminine de la personne semblait me rappeler quelqu’un que j’avais connus lors de mon séjour sur le continent, on aurait dit la voix d’un ange ! Cependant , ce ne fut pas cela qui me frappa le plus ; en effet , sa voix semblait venir de partout , comme si elle se trouvait aux quatre coin de la pièce entièrement blanche où je me trouvais… Sans plus attendre je lui répondis :
-Venant19 : Je ne suis pas un soldat , et je n’ai aucune idée de ce que je fais ici !
A peine avais-je terminé ma phrase qu’elle me répondit :
-Inconnue : En es-tu bien sûr ?
-Venant19 : Oui ! Enfin… je crois , de qu'elle manière devrais-je savoir pourquoi je suis ici !? J’y suis c’est tout , et vous qui êtes-vous !?
-Inconnue : Je pense que tu sais très bien ce dont pourquoi tu es ici ! Mais tu n’as pas le courage de l’avouer , car tu n’es qu’un lâche !
Sur ses mots , je mis ma main gauche sur le fourreau qui était attaché à ma ceinture , et avec la main droite je vins tâter le pommeau de mon épée ; seulement , celle-ci n’était pas présente ; intrigué , je tournais le tête , et vis de mes propres yeux , que ni mon arc , ni mon épée ne m’avaient suivis en se lieu ! Énervais , je rétorquais :
-Venant19 : Si seulement j’avais mon épée, je vous ferrez ravaler vos paroles ; Madame ! Vous vous adressez en ce moment à un Homme qui n’avait jamais fuis le combat jusqu’à aujourd’hui !
Elle n’eut pas l’air d’apprécier mes mots , car plusieurs secondes après avoir prononçait ceux-ci ; je me retrouvais à ouvrir les yeux au beau milieu de la foret ; exactement là où j’étais tombé ! Surpris , je me rassis vite , et j’examinais en détail chaque partis de mon anatomie , afin d’être sûr que le monstre que j’avais croisé avant mon sommeil , ne m’ai en aucun cas fait du mal !
Rapidement, je fus rassuré de voir que rien n’avait changé ! Mon épée, mon arc et mes flèches étaient de nouveaux à leurs places, et la faim me transperçait de nouveau l’estomac ! Je levais les yeux au ciel , et vu que le soleil n’était pas encore tout à fait à son zénith , une nouvelle fois , j’avais raté l’aube ; le meilleur moment pour chasser…
En espérant que cela vous aura plus , et à une prochaine fois peut être !
Chapitre II Une Solitude Brisée
Je sentais qu'il me suivait, et ses pas, beaucoup plus grand que les miens , lui permettais de me rattraper , je fus bientôt essoufflé , et soudainement mon rythme ralenti , je ne courrais quasiment plus , pris d’une douleur intense au niveau du ventre , je ne pouvais presque plus lever les genoux . Cependant, grimaçant de plus belle, je tentais toujours de le semer ; mon acharnement n’avait aucune limite , mais mon corps si… et c’est ainsi que quelques secondes plus tard , tandis que je passais à côté d’un arbre , mes pieds , ceux levant à peine , ce prirent dans une racine !
A terre , le visage dans la boue , je n’avais plus la force ni l’envie de me relever… finalement , j’acceptais mon sort , et , attendant l’instant fatal , je fermis les yeux…
Soudain ; je me retrouvais propulsé dans un autre monde , mon corps resta immobile , mais mon esprit partie dans un endroit d’un blanc immaculé , là , je vis une silhouette s’approchait , comme de quelqu’un portant une longue toge , elle aussi de couleur blanche ; sa face m’étais caché par un épais halo lumineux qui s’émanait de son visage , ébloui , je ne pouvais qu’apercevoir qu’elle portait une capuche , et tandis que je la scrutais , silencieusement , elle s’arrêta à quelques mètres de moi…
Alors que le silence durée depuis quelques secondes déjà, cet inconnu s’adressa à moi :
-Inconnu : Que fais-tu ici , soldat ?
La voix féminine de la personne semblait me rappeler quelqu’un que j’avais connus lors de mon séjour sur le continent, on aurait dit la voix d’un ange ! Cependant , ce ne fut pas cela qui me frappa le plus ; en effet , sa voix semblait venir de partout , comme si elle se trouvait aux quatre coin de la pièce entièrement blanche où je me trouvais… Sans plus attendre je lui répondis :
-Venant19 : Je ne suis pas un soldat , et je n’ai aucune idée de ce que je fais ici !
A peine avais-je terminé ma phrase qu’elle me répondit :
-Inconnue : En es-tu bien sûr ?
-Venant19 : Oui ! Enfin… je crois , de qu'elle manière devrais-je savoir pourquoi je suis ici !? J’y suis c’est tout , et vous qui êtes-vous !?
-Inconnue : Je pense que tu sais très bien ce dont pourquoi tu es ici ! Mais tu n’as pas le courage de l’avouer , car tu n’es qu’un lâche !
Sur ses mots , je mis ma main gauche sur le fourreau qui était attaché à ma ceinture , et avec la main droite je vins tâter le pommeau de mon épée ; seulement , celle-ci n’était pas présente ; intrigué , je tournais le tête , et vis de mes propres yeux , que ni mon arc , ni mon épée ne m’avaient suivis en se lieu ! Énervais , je rétorquais :
-Venant19 : Si seulement j’avais mon épée, je vous ferrez ravaler vos paroles ; Madame ! Vous vous adressez en ce moment à un Homme qui n’avait jamais fuis le combat jusqu’à aujourd’hui !
Elle n’eut pas l’air d’apprécier mes mots , car plusieurs secondes après avoir prononçait ceux-ci ; je me retrouvais à ouvrir les yeux au beau milieu de la foret ; exactement là où j’étais tombé ! Surpris , je me rassis vite , et j’examinais en détail chaque partis de mon anatomie , afin d’être sûr que le monstre que j’avais croisé avant mon sommeil , ne m’ai en aucun cas fait du mal !
Rapidement, je fus rassuré de voir que rien n’avait changé ! Mon épée, mon arc et mes flèches étaient de nouveaux à leurs places, et la faim me transperçait de nouveau l’estomac ! Je levais les yeux au ciel , et vu que le soleil n’était pas encore tout à fait à son zénith , une nouvelle fois , j’avais raté l’aube ; le meilleur moment pour chasser…
En espérant que cela vous aura plus , et à une prochaine fois peut être !
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Re: Venant19 , Ou Les Limbes Du Pacifiques
Chapitre III: La Mort Est Partout
Depuis ma rencontre avec la Femme vêtue de blanc, bien des jours avaient passés, cependant, je n’avais toujours rien avalé de susceptible de me remettre en état ! Mais cela n’allait pas durer bien longtemps ! En effet, déterminé à enfin me nourrir correctement, je coupais une liane de cinq mètres environ, et j’y fis un nœud coulant au bout et je la posa délicatement sur le sol, en prenant bien soin d’y déposer quelques feuilles, et d’y ajoutais un plan de carotte sauvage, que j’avais soigneusement déterré la veuille ! Afin de me faire le plus discret possible, j’allais me poster derrière un buisson. La « corde » à la main, je fixais, déterminé, les carottes situés à quelques mètres devant moi ! Attentif au moindre bruit, je restais immobile, faisant bien attention à la direction du vent, afin que ma proie potentielle ne soit pas alerté par mon odeur !
Soudain, de l’autre côté des fourrés, un jeune marcassin sorti, suivit de ses frères, ainsi que de leur mère ! Même si les jeunes sangliers ne pesaient pas lourd, je m’en contenterai ! Bientôt, des gouttes de sueurs ruisselèrent sur mon visage à mesure que les jeunes s’approcher de mon piège, ma main serrée de plus en plus fort le bout de liane que je tenais, et alléché par le festin potentiel que m’offrirai ses jeunes animaux, je sortis ma langue, et fis le tour de mes lèvres.
Cependant, un grognement vint troubler le silence ambiant, et fit fuir mon gibier, mais contrairement à ce que l’on pourrait croire, je n’en fus pas attristé, en effet j’étais plutôt intrigué par les bruits de pas et les tremblements d’une bête qui venaient de derrières moi ! A peine eu-je le temps de m’écarter qu’un immense mammifère sortie en courant de derrière ma cachette et déracinait le buisson où je m’étais trouvé ! Celui-ci, sans doute apeuré, fonçait tout droit dans la forêt, en laissant échapper de sa gueule des hurlements strident et sourd ! Il ressemblait à la bête que j’avais croisé la première fois en remontant la rivière asséché, cependant, il se trouvait être deux à trois fois plus gros ! Il devait au moins faire deux mètres de haut et un mètre cinquante de large !
Malheureusement, une de ses pattes vint ce prendre dans mon piège, et, emporté par son élan, je me retrouvais désormais à terre, trainais par un énorme phacochère ! La liane, que j’avais auparavant enroulée autour de mon bras , afin de ne pas lâcher la proie potentiel que j’aurai pu saisir , avait pour ainsi dire tenu son rôle… étourdis par la violence du choc , je reprenais mes esprit , tandis que ma peau , frottant contre le sol , commençait à me brûler ! Je saisis sans plus attendre, avec l’autre main, la liane tendu, et, je remontais, petit à petit au niveau de ce monstre poilu, avec la seule force de mes bras. Tandis que je me trouvais au niveau de son ventre, j’en profitais pour agripper une poignée de poil gras et marron, et , forçant toujours plus je réussis à grimper sur son dos.
N’écoutant que mon estomac, je dégainais mon épée, et, la levant au-dessus de sa nuque, je l’enfonçais peu après profondément dans sa chaire. Sans tarder, la pauvre bête vint s’écraser lourdement sur le sol, glissant sur quelques mètre, la tête heurtant violemment la terre, avant de s’arrêter définitivement…
Fière de mon butin, je descendis du dos de ma proie, et je coupais le lien qui me relié à elle avant de me rapprocher de nouveau de cette dernière. Celle-ci , gisant sur le sol , n’était pas encore morte , en effet , son corps , légèrement incliné sur le côté gauche , me laissé apercevoir son ventre qui gonflait et ce dégonflait… la fin était proche , et sentant la peur dans ses yeux qui me scrutaient , je m’approchais prudemment , et je vins lui caresser la tête , doucement… et , alors que je tentais t’en bien que mal de lui montrer que je n’étais pas un monstre , la bête, poussant un long soupir , commençait à partir. Je me sentis obliger de coller ma joue sur le côté de sa tête, « n’est pas peur » lui dis-je. Et, tandis que je somnolais presque, j’aperçut que mon jeune amis , n’était plus de ce monde…
Depuis ma rencontre avec la Femme vêtue de blanc, bien des jours avaient passés, cependant, je n’avais toujours rien avalé de susceptible de me remettre en état ! Mais cela n’allait pas durer bien longtemps ! En effet, déterminé à enfin me nourrir correctement, je coupais une liane de cinq mètres environ, et j’y fis un nœud coulant au bout et je la posa délicatement sur le sol, en prenant bien soin d’y déposer quelques feuilles, et d’y ajoutais un plan de carotte sauvage, que j’avais soigneusement déterré la veuille ! Afin de me faire le plus discret possible, j’allais me poster derrière un buisson. La « corde » à la main, je fixais, déterminé, les carottes situés à quelques mètres devant moi ! Attentif au moindre bruit, je restais immobile, faisant bien attention à la direction du vent, afin que ma proie potentielle ne soit pas alerté par mon odeur !
Soudain, de l’autre côté des fourrés, un jeune marcassin sorti, suivit de ses frères, ainsi que de leur mère ! Même si les jeunes sangliers ne pesaient pas lourd, je m’en contenterai ! Bientôt, des gouttes de sueurs ruisselèrent sur mon visage à mesure que les jeunes s’approcher de mon piège, ma main serrée de plus en plus fort le bout de liane que je tenais, et alléché par le festin potentiel que m’offrirai ses jeunes animaux, je sortis ma langue, et fis le tour de mes lèvres.
Cependant, un grognement vint troubler le silence ambiant, et fit fuir mon gibier, mais contrairement à ce que l’on pourrait croire, je n’en fus pas attristé, en effet j’étais plutôt intrigué par les bruits de pas et les tremblements d’une bête qui venaient de derrières moi ! A peine eu-je le temps de m’écarter qu’un immense mammifère sortie en courant de derrière ma cachette et déracinait le buisson où je m’étais trouvé ! Celui-ci, sans doute apeuré, fonçait tout droit dans la forêt, en laissant échapper de sa gueule des hurlements strident et sourd ! Il ressemblait à la bête que j’avais croisé la première fois en remontant la rivière asséché, cependant, il se trouvait être deux à trois fois plus gros ! Il devait au moins faire deux mètres de haut et un mètre cinquante de large !
Malheureusement, une de ses pattes vint ce prendre dans mon piège, et, emporté par son élan, je me retrouvais désormais à terre, trainais par un énorme phacochère ! La liane, que j’avais auparavant enroulée autour de mon bras , afin de ne pas lâcher la proie potentiel que j’aurai pu saisir , avait pour ainsi dire tenu son rôle… étourdis par la violence du choc , je reprenais mes esprit , tandis que ma peau , frottant contre le sol , commençait à me brûler ! Je saisis sans plus attendre, avec l’autre main, la liane tendu, et, je remontais, petit à petit au niveau de ce monstre poilu, avec la seule force de mes bras. Tandis que je me trouvais au niveau de son ventre, j’en profitais pour agripper une poignée de poil gras et marron, et , forçant toujours plus je réussis à grimper sur son dos.
N’écoutant que mon estomac, je dégainais mon épée, et, la levant au-dessus de sa nuque, je l’enfonçais peu après profondément dans sa chaire. Sans tarder, la pauvre bête vint s’écraser lourdement sur le sol, glissant sur quelques mètre, la tête heurtant violemment la terre, avant de s’arrêter définitivement…
Fière de mon butin, je descendis du dos de ma proie, et je coupais le lien qui me relié à elle avant de me rapprocher de nouveau de cette dernière. Celle-ci , gisant sur le sol , n’était pas encore morte , en effet , son corps , légèrement incliné sur le côté gauche , me laissé apercevoir son ventre qui gonflait et ce dégonflait… la fin était proche , et sentant la peur dans ses yeux qui me scrutaient , je m’approchais prudemment , et je vins lui caresser la tête , doucement… et , alors que je tentais t’en bien que mal de lui montrer que je n’étais pas un monstre , la bête, poussant un long soupir , commençait à partir. Je me sentis obliger de coller ma joue sur le côté de sa tête, « n’est pas peur » lui dis-je. Et, tandis que je somnolais presque, j’aperçut que mon jeune amis , n’était plus de ce monde…
Dernière modification par venant19 le 10 janv. 2014, 23:01, modifié 1 fois.
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Re: Venant19 , Ou Les Limbes Du Pacifiques
Chapitre III: La Mort Est Partout
Je n’eu pourtant pas le temps de savourer mon triomphe ! En effet, rengainant mon épée, je me retournais, d’un pas assuré, en direction du chemin que mon gibier avait tracé le long de forêt. Et je fus surpris de tomber nez à nez avec une autre bête… celle-ci était différente de celle que je venais de terrasser ! Il s’agissait sans doute de la raison pour laquelle ce géant sanglier laineux traversait l’épaisse jungle, tout en hurlant à la mort.
Un peu plus petit que ma dernière victime, ce monstre n’avait pourtant rien à envier aux plus féroces prédateurs ! Sa silhouette était élancée, et son corps n’était pas bien haut ; d’une certaine manière il me rappelait un chat… il possédait une grande et longue queue dépourvut de poils, qu’il balançait dans tous les sens ; le reste de son corps frôlait pratiquement le sol, et il se tenait comme prêt à bondir sur moi. Ses quatre pattes, laissées s’enfoncer dans le sol de longues griffes acérées, presque aussi acérées que ses dents, dont quelques-unes d’entre elles sortaient indépendamment de sa bouche. Sa tête, légèrement plate, était constituée de deux grands yeux, dont les iris , allongées , ne cessaient d’épier le moindre de mes petits mouvements ; sur le coin de ses joues quelques moustaches grises et transparentes s’emmêlaient…
Ce nouveau monstre se trouvait presque à cinq mètres de moi, juste à la lisière de la foret… et moi, immobile, la main toujours serrée sur la poignée de mon épée, à peine rangée , je ne savais que faire, face à une telle bête. Bien que court sur pattes, il devait tout de même avoisiner les trois mètres de long, et son regard, posait sur moi, ne cessait de me scruter ! J’avais volé sa proie, et pour la peine, j’en étais devenu une à mon tour.
Tandis que le duel de regard s’éternisait, je commençais à tirer légèrement ma lame hors de son fourreau, cela eu pour conséquence de laisser s’échapper un son, celui de l’acier de mon épée frottant la boucle de mon fourreau, et ce fut là , le signal de départ du combat, en effet, le félidé , qui avait détourné son regard de mes yeux pour aller se perdre en direction de ma main , sentit que quelque chose n’allait pas , et soudain , il bondit sur moi ! J’eu à peine le temps de finir de sortir mon épée que ce-dernier vint s’écrouler de tout son poids sur ma personne ; et mon corps à terre, était recouvert par celui du monstre, inanimé, qui empêchait le moindre de mes gestes ; mais, usant de toute la force qu’il me restait, je poussais avec mes mains et mes pieds le prédateur hors de mon corps, et je vis, étonné, ma lame enfoncée dans sa poitrine. Dans son saut, le pauvre malheureux était sans doute venu s’empaler sur mon arme, à peine sortie…
Je restais quelques instants, couché sur le sol, reprenant mon souffle et mes esprits, après un combat qui aurait bien pu me coûter la vie ; la chance m’avait sourie cette fois-ci, mais je prenais conscience que cette île était extrêmement dangereuse, et que je devrais dorénavant être constamment sur mes gardes, au cas où une de ces bêtes féroces ne me traquent pendant mes longues marches dans la jungle. Œuvrant de suite au respect de ses nouvelles règles, je me relevais, et récupérais mon épée, en prenant soin d’essuyer le sang qui la tachait, sur le pelage du monstre sans vie.
Rapidement, je découpais un gros morceau de chair de sanglier laineux, tout en essayant de récupérer la plus grande partie de peau que je pouvais, en effet, ce pelage me serais surement utile dans les temps à venir ; et ne traînant pas, je partais rejoindre le camp de fortune que j’avais établis non loin de la clairière où j’avais croisé le géant écailleux…
Et voila , encore un bout de Chapitre
Je n’eu pourtant pas le temps de savourer mon triomphe ! En effet, rengainant mon épée, je me retournais, d’un pas assuré, en direction du chemin que mon gibier avait tracé le long de forêt. Et je fus surpris de tomber nez à nez avec une autre bête… celle-ci était différente de celle que je venais de terrasser ! Il s’agissait sans doute de la raison pour laquelle ce géant sanglier laineux traversait l’épaisse jungle, tout en hurlant à la mort.
Un peu plus petit que ma dernière victime, ce monstre n’avait pourtant rien à envier aux plus féroces prédateurs ! Sa silhouette était élancée, et son corps n’était pas bien haut ; d’une certaine manière il me rappelait un chat… il possédait une grande et longue queue dépourvut de poils, qu’il balançait dans tous les sens ; le reste de son corps frôlait pratiquement le sol, et il se tenait comme prêt à bondir sur moi. Ses quatre pattes, laissées s’enfoncer dans le sol de longues griffes acérées, presque aussi acérées que ses dents, dont quelques-unes d’entre elles sortaient indépendamment de sa bouche. Sa tête, légèrement plate, était constituée de deux grands yeux, dont les iris , allongées , ne cessaient d’épier le moindre de mes petits mouvements ; sur le coin de ses joues quelques moustaches grises et transparentes s’emmêlaient…
Ce nouveau monstre se trouvait presque à cinq mètres de moi, juste à la lisière de la foret… et moi, immobile, la main toujours serrée sur la poignée de mon épée, à peine rangée , je ne savais que faire, face à une telle bête. Bien que court sur pattes, il devait tout de même avoisiner les trois mètres de long, et son regard, posait sur moi, ne cessait de me scruter ! J’avais volé sa proie, et pour la peine, j’en étais devenu une à mon tour.
Tandis que le duel de regard s’éternisait, je commençais à tirer légèrement ma lame hors de son fourreau, cela eu pour conséquence de laisser s’échapper un son, celui de l’acier de mon épée frottant la boucle de mon fourreau, et ce fut là , le signal de départ du combat, en effet, le félidé , qui avait détourné son regard de mes yeux pour aller se perdre en direction de ma main , sentit que quelque chose n’allait pas , et soudain , il bondit sur moi ! J’eu à peine le temps de finir de sortir mon épée que ce-dernier vint s’écrouler de tout son poids sur ma personne ; et mon corps à terre, était recouvert par celui du monstre, inanimé, qui empêchait le moindre de mes gestes ; mais, usant de toute la force qu’il me restait, je poussais avec mes mains et mes pieds le prédateur hors de mon corps, et je vis, étonné, ma lame enfoncée dans sa poitrine. Dans son saut, le pauvre malheureux était sans doute venu s’empaler sur mon arme, à peine sortie…
Je restais quelques instants, couché sur le sol, reprenant mon souffle et mes esprits, après un combat qui aurait bien pu me coûter la vie ; la chance m’avait sourie cette fois-ci, mais je prenais conscience que cette île était extrêmement dangereuse, et que je devrais dorénavant être constamment sur mes gardes, au cas où une de ces bêtes féroces ne me traquent pendant mes longues marches dans la jungle. Œuvrant de suite au respect de ses nouvelles règles, je me relevais, et récupérais mon épée, en prenant soin d’essuyer le sang qui la tachait, sur le pelage du monstre sans vie.
Rapidement, je découpais un gros morceau de chair de sanglier laineux, tout en essayant de récupérer la plus grande partie de peau que je pouvais, en effet, ce pelage me serais surement utile dans les temps à venir ; et ne traînant pas, je partais rejoindre le camp de fortune que j’avais établis non loin de la clairière où j’avais croisé le géant écailleux…
Et voila , encore un bout de Chapitre
Dernière modification par venant19 le 22 août 2013, 23:19, modifié 1 fois.
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Re: Venant19 , Ou Les Limbes Du Pacifiques
Ja'ime bien...
J'aime beaucoup
passi....Bon ok j'arrete
mais sans dec, c'est cool
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mais sans dec, c'est cool
Admire la personne qui te critique car prisonnière de sa propre jalousie, elle ne fait que t'admirer.
Retenez bien
Vesperia. "Tale of Vesperia"
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Re: Venant19 , Ou Les Limbes Du Pacifiques
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