Re: Et le monde s'effondra...
Publié : 18 oct. 2014, 20:12
La suite ! Je suis profondément désolé pour le retard...
Quelques autres ombres apparurent. Elles étaient armées. Elles couraient vers moi, je commençais à mieux les distinguées. Elles levèrent leurs armes. La panique m'envahie. Ils tirèrent. Leur balles ne m'atteinrent pas. Des cris résonnèrent derrière moi. Je ne préférais pas me retourner. Les soldats me prirent amicalement avec eux. Remarquant mon air perdu, l'un d'eux m’expliqua la situation :
-Il y a quelques mois, les îles ont commencés à s'effondrer. Ce fut un désastre. Près de la moitié de la population y laissa la vie. Une défense s'organisa. Le gouvernement a tenté de les supprimer, à coups d’explosifs. Cela prenait trop de temps, les dégâts restaient intolérables. Il tenta d'autres méthodes, sans grand succès également. Alors se sont construits des camps, loin du moindre îlot, où se réfugiait la population. Pendant ce temps, une guerre civile éclat. Refusant de quitter leur habitation, certains se mirent aux armes, abattant ceux qui leur conseillaient de partir. D'autres, des fanatiques religieux, étaient persuadés que l'heure de l'humanité était venue. Attentats, massacres, ils "aidaient leur dieu dans sa tache", détruisant quelque uns des dernier retranchement humains. Le gouvernement répliqua bien vite, protégeant les camps et attaquant ces terroristes. Nous en faisons partie. Nous ne pouvons pas les laisser massacrer les quelques survivants. Ils sont coriaces ! Mais on les aura !
Je ne savais pas quoi en penser. Nous établîmes un campement, pour la nuit. Je dormis mal. Mes pensées restaient confusent. L'humanité semblait vaincue, vaincu par la gravité. Et vaincue par ses représentants.
Quelques autres ombres apparurent. Elles étaient armées. Elles couraient vers moi, je commençais à mieux les distinguées. Elles levèrent leurs armes. La panique m'envahie. Ils tirèrent. Leur balles ne m'atteinrent pas. Des cris résonnèrent derrière moi. Je ne préférais pas me retourner. Les soldats me prirent amicalement avec eux. Remarquant mon air perdu, l'un d'eux m’expliqua la situation :
-Il y a quelques mois, les îles ont commencés à s'effondrer. Ce fut un désastre. Près de la moitié de la population y laissa la vie. Une défense s'organisa. Le gouvernement a tenté de les supprimer, à coups d’explosifs. Cela prenait trop de temps, les dégâts restaient intolérables. Il tenta d'autres méthodes, sans grand succès également. Alors se sont construits des camps, loin du moindre îlot, où se réfugiait la population. Pendant ce temps, une guerre civile éclat. Refusant de quitter leur habitation, certains se mirent aux armes, abattant ceux qui leur conseillaient de partir. D'autres, des fanatiques religieux, étaient persuadés que l'heure de l'humanité était venue. Attentats, massacres, ils "aidaient leur dieu dans sa tache", détruisant quelque uns des dernier retranchement humains. Le gouvernement répliqua bien vite, protégeant les camps et attaquant ces terroristes. Nous en faisons partie. Nous ne pouvons pas les laisser massacrer les quelques survivants. Ils sont coriaces ! Mais on les aura !
Je ne savais pas quoi en penser. Nous établîmes un campement, pour la nuit. Je dormis mal. Mes pensées restaient confusent. L'humanité semblait vaincue, vaincu par la gravité. Et vaincue par ses représentants.