Bonjour à toute et à tous ! J'ai décidé , en cette fin d'année de poster quelques nouveaux passages de ce RP restait en suspens !
Chapitre III Partie II
Quelques heures plus tard , le Général convia Numéro 16, 17 , 18 et 19 dans son bureau , les raisons de cet entrevu étaient plutôt trouble , et les jeunes diplômés ne savaient guère si ils devaient ce réjouir ou au contraire , craindre de ce présenter au Général. Pour 16 , 17 et 18 ce fut la première fois qu'ils ce rendirent de ce bureau , contrairement à Numéro 19 qui lui y avait déjà passé plusieurs heures. A leur entré , il n'y avait personne , tout était correctement rangé et chaque chose était à sa place , seul le siège du Général restait cruellement vide... Les quatre soldats , bien que disciplinaient ne tardèrent pas à rompre leur Garde à vous , et à ce poser des questions ; au début dans leur tête puis tout bas , et enfin sans ce soucier si on pouvait les entendre. Ce fut à ce moment précis que le Général décida de faire son apparition , il entra d'un pas vif et s’excusa brièvement de ce retard. Il rejoint rapidement son fauteuil , s'assit et le tira vers son bureau.
-Général ce questionnant: Euh... que faites vous ici au juste ?
Tout quatre commencèrent à ce regarder , et dans un baffouillement global , on pu distinguer un «Vous nous avez convoqué , monsieur»
-Général retrouvant la mémoire: Ah oui je me souviens ! Excusez moi , donc ,si je vous ai convié ici ce soir , c'est tout d'abord pour vous féliciter , mais vous vous doutez bien que vous n'êtes pas ici simplement pour que je fasse votre éloge , en effet , je vous informe officiellement que vous avez été affilié à la même escouade pour une mission très spéciale ! Vous partez demain à la première heure.
L'annonce fut un choc pour 19 , lui qui pensait enfin être débarrassé de 17 , le voilà une nouvelle fois remis sous ses ordres , et pour combien de temps encore ?!
-Numéro 17 toussant: Et en quoi consiste cette mission mon Général ?
-Général: Vous n'êtes pas sans savoir qu'il y a une guerre en cour derrière nos murs , et que cela fait pratiquement dix ans quel dure... j'aimerai vous dire que l'on est en train de la gagner , mais ce serait vous mentir. L'ennemi est au porte de la Capital , et nous avons besoins de vous pour escorter l'Empereur en lieu sûr ! Défendez le au péril de votre vie , rappelez vous de vos entraînements , et amenez le jusqu'au fort d'Avengard , au sommet du Mont Écarlate !
Tous répondirent à l'unisson «Oui , mon Général !» , et après ses mots et un «Rompez» de leur supérieur , il firent demi-tour et sortirent du bureau , tous sauf un.
-Général doucement: Restez ici 19 , j'ai à vous parler en privé
-Numéro 19: Qui a-t-il mon Général ?!
-Général: Pensez-vous que vous y arriverai 19 ?
-Numéro 19 intrigué: A quoi mon Général ?
-Général: A suivre les ordres de Numéro 17.
-Numéro 19 après quelques secondes d'hésitations: Oui , mon Général !
-Général: Bien... Je n'y crois pas une seule seconde... mais soit , tachez de gardez tous les membres de cette escouade en vie , Sergent ! Dit-il en insistant lourdement sur ce dernier mot
-Numéro 19 stupéfié: Sergent ? Merci , mais pourquoi mon Général ?
-Général: Vous avez du potentiel 19 , vous êtes loin d'être un crétin , et vous savez très bien manier votre épée , ce qui fait de vous quelqu'un de très dangereux , tachez de vous en souvenir !
-Numéro 19 souriant: Je m'en souviendrai mon Général !
-Général: Ce n'est pas tout , suivez moi dit-il en ce levant
Le Général s’avança en direction d'une commode , qui ce trouvait à la droite de son bureau ; quand ils furent tout deux au même niveau , ce dernier tira les deux poignets et ouvra grand les deux portes.
La stupéfaction de 19 pouvait ce lire sur son visage , en effet dans l'armoire , on pouvait contempler une magnifique et étincelante armure chromé , protéger par une vitre qui était verrouiller par un cadenas. Elle brillait tellement que cela ce reflétait dans les yeux du général et de son compagnon , tous deux restèrent silencieux quelques minutes , ne cessant pas de l'admirer ; de temps en temps le Général jetait de léger coup d’œil en direction de 19. Cette armure , le Général l'avait porté durant de nombreuses années , et quelques cicatrice sur la cuirasse étaient bien visible , seulement , rien ne pouvait entaché le symbole qu'elle renvoyait. Son casque , étincelant lui aussi avait une visière seulement percer de deux fentes longues d'une dixième de centimètres et hautes de quelques millimètres , ce casque , notre jeune orphelin le fixa inlassablement , comme si il tentait d'apercevoir , à travers les deux sillons , un fantôme qui ce trouverait à l'intérieur.
-Général souriant à son tour: Alors , elle te plaît ?
-Numéro 19: …
-Général : Elle est à toi , je te l'offre ! Elle te sera sans doute plus utile à toi , qu'à moi désormais.
-Numéro 19: Je ne sais pas quoi dire !
-Général : Alors ne dis rien.
En espérant que cela vous ai plu
Cordialement , Venant19
Les Débuts de Venant19: Un Empire en Perdition
Re: Les Débuts de Venant19
- Fortress... A jamais !
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Re: Les Débuts de Venant19
Pas mal, j'aime bien !
Reporter/Responsable Vidéaste depuis le 24 février 2015
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"Je vais mettre un terme a votre idéologie barbare de répartition équitable des richesses !"
"La vie est une pilule contraceptive "
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"La vie est une pilule contraceptive "
Re: Les Débuts de Venant19
Est encore une partie de poster ! ^^
Chapitre IV: Un Nom
Fort de cette expérience , et ramenant avec lui sa nouvelle armure , Numéro 19 ce dirigeait désormais en direction de ses quartiers; quand il fut en face de sa porte , il prit enfin conscience de ce qui venait de ce passer ; le Général venait de lui offrir son armure , pas n'importe qu'elle armure , celle qu'il avait porté durant des années , celle qui lui avait peut être sauver la vie à de maintes occasions ! Soudain , un tas de questions ce bousculèrent dans son esprit , pourquoi étais-ce lui qui avait eu le privilège de ce cadeau , et non 17 , le major de la promotion... et ses éloges qu'il lui avait fait , comment devait-il les prendre ?!
Mais sans plus ce poser de questions , tandis qu'il venait à peine de refermer la porte de l'armoire dans laquelle il venait de placer sa nouvelle cuirasse , Numéro 16 , dont la chambre était voisine , vint faire son apparition.
-Numéro 16l'interrogeant: Que caches tu donc dans cette armoire ?
Numéro 19 , surpris , il ce retourna et lui répondit « Un présent du Général ! »
-Numéro 16: Ouaw ! Et c'est quoi ?
Pensant qu'une image serait bien plus parlante que quelques mots, 19 ce retourna de nouveau , et ouvrit en grand les portes de son armoire. 16 fut aussi surprise que l'avait été 19 quelques minutes auparavant. Elle resta stupéfaite quelques instants , tourna la tête en direction et 19 , et afficha un grand sourire.
-Numéro 16: Viens , moi aussi j'ai quelque chose à te montrer !
A peine avait-elle eu le temps de terminer sa phrase qu'elle saisie la main de 19 et le tira. Elle sortie des murs de l'académie et amena notre chère 19 à un point inconnue de lui jusque alors , l'endroit n'était pas forcement grandiose , il s'agissait simplement d'un parapet , au bord du vide , mais si l'on jetait son regard vers le ciel , on pouvait alors apercevoir un ciel recouvert d'étoiles. La nuit était tombé depuis plusieurs heures déjà , et l'atmosphère , dénuait de tout nuages laissait apparaître une nuit comme on peut en apprécier que quelques unes au cour d'une vie. Tout deux s'assirent aux bord du vide , profitant juste un instant du silence qui pesait sur l'académie , et tandis que 19 ce perdait dans ses pensées , Numéro 16 vint poser ses doigts sur sa main.
Tout d'abord surpris , il apprécia rapidement ce sentiment qui l'envahissait peu à peu...
-Numéro 16 d'une voix douce: Ça t'es jamais arrivé de te demander comment tu t'appelais avant que l'on te donnes ce numéro ?
-Numéro 19 : Si , plusieurs fois , mais j'ai beau me concentrer , le vouloir de toute mes forces , je n'arrive pas à me souvenir... Et toi ?
-Numéro 16 : Moi ? Si , je m'en souviens , mais je me suis habitué à ce numéro.
-Numéro 19 : Et alors ?!
-Numéro 16 : Et alors quoi ?
-Numéro 19 : Ben c'est quoi ton prénom ?
-Numéro 16 : Si je te le dis promet-moi que tu ne te moqueras pas !
-Numéro 19 : Promis !
-Numéro 16 : Kathnis.
-Numéro 19 : C'est très jolie tu sais , je vois pas pourquoi tu en as honte ! J'aimerai moi aussi avoir un prénom.
-Kathnis : Ben... T'as qu'à te le trouver , tu ne te souviens plus de comment-tu t'appelles , mais personne ne t’empêche de te trouver ton propre nom ! Je sais pas moi... c'est quoi la chose qui te tiens le plus à cœur ?!
-Numéro 19 : C'est vous , 18 et toi , et l'Académie.
-Kathnis: Ben voilà , ta qu'à reprendre le nom de l'Académie ! «Astrius Venanticus»
-Numéro 19 : C'est trop long , et ça fait un peu vieux non ?
-Kathnis : Reprend juste son nom ou son prénom alors !
-Numéro 19 : Mouais... Astrius je suis pas convaincu , c'est un peu trop... Impérial à mon goût. Et Venanticus aussi.
-Kathnis : Rend le moins impérial alors ! «Venanti» ou «Venant» c'est plutôt pas mal non ?
-Numéro 19 : J'aime bien le dernier ! Mais je tiens pas à perdre mon numéro , il ma accompagné toutes ses années , il fait un peu parti de moi désormais... Hum... Venant19 ? C'est un peu... bizarre comme nom , non ?
-Kathnis souriant : C'est parfait ! J'adore , ça donne un petit coté... prestigieux je trouve.
-Venant19 enthousiaste : Je garde alors.
La discussion ce termina , et laissa de nouveau place au silence , tandis que Venant19 répétait sans cesse dans son esprit le nouveau nom qu'il venait de s'attribuer , Kathnis , elle , semblait anxieuse , elle ne savait où poser ses mains , et où jeter son regard ; tout en ce mordant la lèvre , elle s'approcha de Venant19 , « Qu'est-ce qu... » , il n’eut même pas le temps de terminer sa phrase qu'elle posa ses lèvres sur les siennes et commença à l'embrasser. Après quelques secondes d'un baiser plutôt langoureux , elle retira d'un coup sa bouche , et ce mit doucement à pleurer.
-Kathnis : Excuse-moi , dit-elle tout en commençant à fondre en larme , je ne sais pas ce qui m'a pris.
-Venant19 : Ne t'excuses pas , je comprend...
Il saisi Kathnis doucement , et ramena sa tête contre son épaule , et la serra fort dans ses bras ; tout deux restèrent assis ici toute la nuit , parlant de tout et de rien , puis s'endormant tranquillement dans l'air doux et sec d'une nuit de juillet.
En espérant encore une fois que ça vous ai plu !
Cordialement , Venant19
Chapitre IV: Un Nom
Fort de cette expérience , et ramenant avec lui sa nouvelle armure , Numéro 19 ce dirigeait désormais en direction de ses quartiers; quand il fut en face de sa porte , il prit enfin conscience de ce qui venait de ce passer ; le Général venait de lui offrir son armure , pas n'importe qu'elle armure , celle qu'il avait porté durant des années , celle qui lui avait peut être sauver la vie à de maintes occasions ! Soudain , un tas de questions ce bousculèrent dans son esprit , pourquoi étais-ce lui qui avait eu le privilège de ce cadeau , et non 17 , le major de la promotion... et ses éloges qu'il lui avait fait , comment devait-il les prendre ?!
Mais sans plus ce poser de questions , tandis qu'il venait à peine de refermer la porte de l'armoire dans laquelle il venait de placer sa nouvelle cuirasse , Numéro 16 , dont la chambre était voisine , vint faire son apparition.
-Numéro 16l'interrogeant: Que caches tu donc dans cette armoire ?
Numéro 19 , surpris , il ce retourna et lui répondit « Un présent du Général ! »
-Numéro 16: Ouaw ! Et c'est quoi ?
Pensant qu'une image serait bien plus parlante que quelques mots, 19 ce retourna de nouveau , et ouvrit en grand les portes de son armoire. 16 fut aussi surprise que l'avait été 19 quelques minutes auparavant. Elle resta stupéfaite quelques instants , tourna la tête en direction et 19 , et afficha un grand sourire.
-Numéro 16: Viens , moi aussi j'ai quelque chose à te montrer !
A peine avait-elle eu le temps de terminer sa phrase qu'elle saisie la main de 19 et le tira. Elle sortie des murs de l'académie et amena notre chère 19 à un point inconnue de lui jusque alors , l'endroit n'était pas forcement grandiose , il s'agissait simplement d'un parapet , au bord du vide , mais si l'on jetait son regard vers le ciel , on pouvait alors apercevoir un ciel recouvert d'étoiles. La nuit était tombé depuis plusieurs heures déjà , et l'atmosphère , dénuait de tout nuages laissait apparaître une nuit comme on peut en apprécier que quelques unes au cour d'une vie. Tout deux s'assirent aux bord du vide , profitant juste un instant du silence qui pesait sur l'académie , et tandis que 19 ce perdait dans ses pensées , Numéro 16 vint poser ses doigts sur sa main.
Tout d'abord surpris , il apprécia rapidement ce sentiment qui l'envahissait peu à peu...
-Numéro 16 d'une voix douce: Ça t'es jamais arrivé de te demander comment tu t'appelais avant que l'on te donnes ce numéro ?
-Numéro 19 : Si , plusieurs fois , mais j'ai beau me concentrer , le vouloir de toute mes forces , je n'arrive pas à me souvenir... Et toi ?
-Numéro 16 : Moi ? Si , je m'en souviens , mais je me suis habitué à ce numéro.
-Numéro 19 : Et alors ?!
-Numéro 16 : Et alors quoi ?
-Numéro 19 : Ben c'est quoi ton prénom ?
-Numéro 16 : Si je te le dis promet-moi que tu ne te moqueras pas !
-Numéro 19 : Promis !
-Numéro 16 : Kathnis.
-Numéro 19 : C'est très jolie tu sais , je vois pas pourquoi tu en as honte ! J'aimerai moi aussi avoir un prénom.
-Kathnis : Ben... T'as qu'à te le trouver , tu ne te souviens plus de comment-tu t'appelles , mais personne ne t’empêche de te trouver ton propre nom ! Je sais pas moi... c'est quoi la chose qui te tiens le plus à cœur ?!
-Numéro 19 : C'est vous , 18 et toi , et l'Académie.
-Kathnis: Ben voilà , ta qu'à reprendre le nom de l'Académie ! «Astrius Venanticus»
-Numéro 19 : C'est trop long , et ça fait un peu vieux non ?
-Kathnis : Reprend juste son nom ou son prénom alors !
-Numéro 19 : Mouais... Astrius je suis pas convaincu , c'est un peu trop... Impérial à mon goût. Et Venanticus aussi.
-Kathnis : Rend le moins impérial alors ! «Venanti» ou «Venant» c'est plutôt pas mal non ?
-Numéro 19 : J'aime bien le dernier ! Mais je tiens pas à perdre mon numéro , il ma accompagné toutes ses années , il fait un peu parti de moi désormais... Hum... Venant19 ? C'est un peu... bizarre comme nom , non ?
-Kathnis souriant : C'est parfait ! J'adore , ça donne un petit coté... prestigieux je trouve.
-Venant19 enthousiaste : Je garde alors.
La discussion ce termina , et laissa de nouveau place au silence , tandis que Venant19 répétait sans cesse dans son esprit le nouveau nom qu'il venait de s'attribuer , Kathnis , elle , semblait anxieuse , elle ne savait où poser ses mains , et où jeter son regard ; tout en ce mordant la lèvre , elle s'approcha de Venant19 , « Qu'est-ce qu... » , il n’eut même pas le temps de terminer sa phrase qu'elle posa ses lèvres sur les siennes et commença à l'embrasser. Après quelques secondes d'un baiser plutôt langoureux , elle retira d'un coup sa bouche , et ce mit doucement à pleurer.
-Kathnis : Excuse-moi , dit-elle tout en commençant à fondre en larme , je ne sais pas ce qui m'a pris.
-Venant19 : Ne t'excuses pas , je comprend...
Il saisi Kathnis doucement , et ramena sa tête contre son épaule , et la serra fort dans ses bras ; tout deux restèrent assis ici toute la nuit , parlant de tout et de rien , puis s'endormant tranquillement dans l'air doux et sec d'une nuit de juillet.
En espérant encore une fois que ça vous ai plu !
Cordialement , Venant19
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Re: Les Débuts de Venant19
Tant d'émotion :p
Reporter/Responsable Vidéaste depuis le 24 février 2015
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"La vie est une pilule contraceptive "
Re: Les Débuts de Venant19
Chapitre V: Un Empire En Perdition
Le jour venu , ils étaient déjà temps de ce mettre en route... Chevauchant deux jours entiers , ils ne tardèrent pas à arriver à la Capital , ou du moins , à ce qu'il en resté , après des années d'une guerre aussi sanglante que futile , cette dernière c'était invité jusqu'au portes de la Ville la plus fortifiée de tous les Royaumes ; symbole de pouvoir et de richesse , c'était ici que l'Empereur séjourné. Sa fierté et son courage l’empêchèrent de fuir , et alors que la Guerre , que jusque là il n'avait vu qu'au travers des yeux de ses généraux , approchait , tandis qu'elle paraissait si lointaine encore qu'il pu presque l'oublier , quel fût sa surprise quand un jour , alors qu'il ouvrait la persienne de la fenêtre de sa chambre , il pu apercevoir au loin , les troupes et les machines de guerres avançaient lentement vers lui. La Ville tint le siège durant plus de deux mois , mais la nourriture et l'eau vinrent à manquer ; et tandis que l'on faisait tout pour défendre la Capital et son Empereur , les derniers murs vinrent à tomber...
La chance fut tout de même au rendez-vous , en effet , pris dans une frénésie meurtrière , les troupes ennemies rompirent leur formation pour ce jeter dans la faille... le cercle de bataillons , entourant la ville , ce trouvait désormais être une sorte d'ellipse , où à plusieurs endroits , on pouvait apercevoir des ouvertures aussi large qu'un fleuve. Nos quatre jeunes combattants choisirent ce moment pour intervenir , et sans plus attendre , ils s’engouffrèrent eux aussi dans la fissure.
Bien qu’entraînaient , ils ne pouvaient faire face à une si grande armée , mais leur destriers leurs conféraient un avantage de poids , la vitesse. Chevauchants aux triple-galop , ils n'eurent que peu de mal à passer. Les soldats de la ville tentaient temps bien que mal d’empêcher l'armée ennemie de pénétrer , mais cela n’eut que peu de succès du moins juste assez pour permettre à nos aventuriers de prendre une petite longueur d'avance sur leur poursuivants. Il arrivèrent au palais , qui ce situé tout en haut de la ville , ils descendirent de leur montures et entrèrent avant que les derniers gardes ne sellent la grande porte.
Tous ceux dépêchèrent , et ne tardèrent pas à arriver à la salle du trône , où , attendant l'inévitable , l'Empereur siégé , entourer des plus valeureux membres de sa Garde personnel.
En ouvrant la porte brusquement , on entendit les soldats ceux mètrent en positions , dans le fracas de leur armes s'entrechoquant dans la précipitation. Et alors qu'ils réalisaient qu'il s'agissait d'alliés , un relâchement et un soupir de soulagement ce fit entendre.
-Numéro 17: Mon suzerain ! Nous venons pour vous secourir !
-l'Empereur étonné : Me secourir ?! Vous arrivez , je pense un peu trop tard messieurs !
-Numéro 17: Avec tous le respect que je vous dois monsieur , Fermez la ! Et suivez nous !
-l'Empereur légèrement choqué : Hey bien soit , autant tenter ma chance , mourir ici , ou mourir dehors , qu'elle sera la différence...
Alors que l'Empereur ce levait de son siège , et que 17 son escouade , ainsi que la Garde avançaient vers la porte , un tremblement provenant de l'autre coté de cette dernière fit stopper tous le monde. Un silence pesant fit son apparition , et à mesure que les tremblements ce rapprochés , les cœurs battaient de plus en plus vite et de plus en plus fort. Soudain... plus aucun bruit ni secousses... la tension redescendit peu à peu , quand tout à coup , un choc vint frapper la porte , qui , sous la pression , fut déformée. Un second , d'autant plus fort , vint lui aussi cogner le porche , et quant au troisième , il fit s’effondrer l'entrée.
On pouvait maintenant observer un Troll des Plateaux , une bête dont l'envergure devait dépassé les trois mètres et dont la hauteur frôlait celle du plafond du palais , qui culminé à cinq mètres de haut. Armé d'un simple gourdin , il ne portait ni casque ni armure , sa peau épaisse et rugueuse lui assuré déjà une protection suffisante pour éviter de l'encombrer avec un leste supplémentaire. Mais les Gardes ne furent pas impressionner , et n'écoutant que leur courages ils foncèrent , têtes baissaient à l'assaut de cette montagne de muscle. Malheureusement , leur bravoure ne fut pas suffisant , en effet le Troll les balaya tous un à un , et il ne resta bientôt plus que nos quatre héros , et l'Empereur , terrifié , qui essayé , tant bien que mal de ce cacher derrière son trône.
-Numéro 17: 19 , avec moi ! On s'occupe de lui.
-Venant19 dégainant son épée : A vos ordres mon Capitaine !
-Numéro 17: 16 , 18 , occupez vous de l'Empereur ! Terminez la mission !
-Kathnis et Numéro 18 à l'unisson : Oui mon Capitaine !
Tandis que les deux rivaux faisaient tous deux face , du même coté au monstre , Kathnis et Numéro 18 s’empressèrent d'escorter l'Empereur. Ils prirent une seconde porte , qui ce trouvait à la droite du trône , bien caché par des tapisseries d'époques , retraçant l'histoire du Royaume.
Le Troll venait à peine de reprendre son souffle , qu'il chargea Numéro 17 , qui , d'un mouvement assuré lui passa entre les jambes , et lui grimpa sur le dos. Pendant que le troll tentait de ce débarrasser de son cavalier , Venant19 ne savait que faire , il n'avait encore jamais affronter de bête telle que celle-ci , et pour la première fois il ne s'agissait plus d’entraînement. Cependant , il n'eut pas le temps de réfléchir plus , et vit Numéro 17 ce faire attraper par le géant , qui le jetât au sol , avant de lui donner un coup de masse qui le fit traverser la grande fenêtre du palais. Venant19 , n'ayant aucune autre solution que de ce battre , fonça lui aussi en direction du Troll , qui d'un revers de la main le fit tomber lourdement à terre. N'écoutant que son instinct il ce releva , évitant le coup de gourdin qui lui était destiné , et , tel son Capitaine avant lui , il passa entre ses jambes , et grimpa sur son dos.
Le Troll , connaissant la tactique de son adversaire , ce mis à tourner sur lui même , lâchant son arme , et agitant ses bras au niveau de ses omoplates , espérant saisir le Sergent. Celui-ci tenter tant bien que mal de tenir sa position , même si extrêmement instable , il commit tout de même l'erreur de lever le bras , et avec , son épée. Le mastodonte , dans sa tentative désespérer de mettre la main sur Venant19 , réussi à saisir la lame , et la lançant au sol , ce fut tous le Sergent qui suivit , agrippant son arme, il ce trouvait maintenant à terre. Le Troll , ne tarda pas à ramasser sa masse , et tandis qu'il la levait , ce préparant à assigner le coup de grâce , Venant19 eu le réflexe de lâcher son épée et de rouler vers la gauche , avant que le coup fatal ne s'abatte au sol , faisant trembler tout le bâtiment.
Le Sergent , qui dans le choc fut propulser dans un coin de la pièce , réussi à ramper jusqu'à la dépouille d'un Garde , et ce saisi de son arc , dont la couleur , inhabituel , laissé refléter des nuances de violet. Il ne s'attarda cependant pas sur cette caractéristique , et , banda une flèche toute droit sorti du carquois de ce même soldat , et tandis que le Troll arrivait à toute allure , il décocha la flèche , qui vint ce loger dans son épaule , et qui , dans la plus grande stupéfaction du Sergent , le fit traverser toute la pièce , passant à son tour par la fenêtre avant d'aller s'écraser quelques mètres plus bas , dans la ruelle.
Le jour venu , ils étaient déjà temps de ce mettre en route... Chevauchant deux jours entiers , ils ne tardèrent pas à arriver à la Capital , ou du moins , à ce qu'il en resté , après des années d'une guerre aussi sanglante que futile , cette dernière c'était invité jusqu'au portes de la Ville la plus fortifiée de tous les Royaumes ; symbole de pouvoir et de richesse , c'était ici que l'Empereur séjourné. Sa fierté et son courage l’empêchèrent de fuir , et alors que la Guerre , que jusque là il n'avait vu qu'au travers des yeux de ses généraux , approchait , tandis qu'elle paraissait si lointaine encore qu'il pu presque l'oublier , quel fût sa surprise quand un jour , alors qu'il ouvrait la persienne de la fenêtre de sa chambre , il pu apercevoir au loin , les troupes et les machines de guerres avançaient lentement vers lui. La Ville tint le siège durant plus de deux mois , mais la nourriture et l'eau vinrent à manquer ; et tandis que l'on faisait tout pour défendre la Capital et son Empereur , les derniers murs vinrent à tomber...
La chance fut tout de même au rendez-vous , en effet , pris dans une frénésie meurtrière , les troupes ennemies rompirent leur formation pour ce jeter dans la faille... le cercle de bataillons , entourant la ville , ce trouvait désormais être une sorte d'ellipse , où à plusieurs endroits , on pouvait apercevoir des ouvertures aussi large qu'un fleuve. Nos quatre jeunes combattants choisirent ce moment pour intervenir , et sans plus attendre , ils s’engouffrèrent eux aussi dans la fissure.
Bien qu’entraînaient , ils ne pouvaient faire face à une si grande armée , mais leur destriers leurs conféraient un avantage de poids , la vitesse. Chevauchants aux triple-galop , ils n'eurent que peu de mal à passer. Les soldats de la ville tentaient temps bien que mal d’empêcher l'armée ennemie de pénétrer , mais cela n’eut que peu de succès du moins juste assez pour permettre à nos aventuriers de prendre une petite longueur d'avance sur leur poursuivants. Il arrivèrent au palais , qui ce situé tout en haut de la ville , ils descendirent de leur montures et entrèrent avant que les derniers gardes ne sellent la grande porte.
Tous ceux dépêchèrent , et ne tardèrent pas à arriver à la salle du trône , où , attendant l'inévitable , l'Empereur siégé , entourer des plus valeureux membres de sa Garde personnel.
En ouvrant la porte brusquement , on entendit les soldats ceux mètrent en positions , dans le fracas de leur armes s'entrechoquant dans la précipitation. Et alors qu'ils réalisaient qu'il s'agissait d'alliés , un relâchement et un soupir de soulagement ce fit entendre.
-Numéro 17: Mon suzerain ! Nous venons pour vous secourir !
-l'Empereur étonné : Me secourir ?! Vous arrivez , je pense un peu trop tard messieurs !
-Numéro 17: Avec tous le respect que je vous dois monsieur , Fermez la ! Et suivez nous !
-l'Empereur légèrement choqué : Hey bien soit , autant tenter ma chance , mourir ici , ou mourir dehors , qu'elle sera la différence...
Alors que l'Empereur ce levait de son siège , et que 17 son escouade , ainsi que la Garde avançaient vers la porte , un tremblement provenant de l'autre coté de cette dernière fit stopper tous le monde. Un silence pesant fit son apparition , et à mesure que les tremblements ce rapprochés , les cœurs battaient de plus en plus vite et de plus en plus fort. Soudain... plus aucun bruit ni secousses... la tension redescendit peu à peu , quand tout à coup , un choc vint frapper la porte , qui , sous la pression , fut déformée. Un second , d'autant plus fort , vint lui aussi cogner le porche , et quant au troisième , il fit s’effondrer l'entrée.
On pouvait maintenant observer un Troll des Plateaux , une bête dont l'envergure devait dépassé les trois mètres et dont la hauteur frôlait celle du plafond du palais , qui culminé à cinq mètres de haut. Armé d'un simple gourdin , il ne portait ni casque ni armure , sa peau épaisse et rugueuse lui assuré déjà une protection suffisante pour éviter de l'encombrer avec un leste supplémentaire. Mais les Gardes ne furent pas impressionner , et n'écoutant que leur courages ils foncèrent , têtes baissaient à l'assaut de cette montagne de muscle. Malheureusement , leur bravoure ne fut pas suffisant , en effet le Troll les balaya tous un à un , et il ne resta bientôt plus que nos quatre héros , et l'Empereur , terrifié , qui essayé , tant bien que mal de ce cacher derrière son trône.
-Numéro 17: 19 , avec moi ! On s'occupe de lui.
-Venant19 dégainant son épée : A vos ordres mon Capitaine !
-Numéro 17: 16 , 18 , occupez vous de l'Empereur ! Terminez la mission !
-Kathnis et Numéro 18 à l'unisson : Oui mon Capitaine !
Tandis que les deux rivaux faisaient tous deux face , du même coté au monstre , Kathnis et Numéro 18 s’empressèrent d'escorter l'Empereur. Ils prirent une seconde porte , qui ce trouvait à la droite du trône , bien caché par des tapisseries d'époques , retraçant l'histoire du Royaume.
Le Troll venait à peine de reprendre son souffle , qu'il chargea Numéro 17 , qui , d'un mouvement assuré lui passa entre les jambes , et lui grimpa sur le dos. Pendant que le troll tentait de ce débarrasser de son cavalier , Venant19 ne savait que faire , il n'avait encore jamais affronter de bête telle que celle-ci , et pour la première fois il ne s'agissait plus d’entraînement. Cependant , il n'eut pas le temps de réfléchir plus , et vit Numéro 17 ce faire attraper par le géant , qui le jetât au sol , avant de lui donner un coup de masse qui le fit traverser la grande fenêtre du palais. Venant19 , n'ayant aucune autre solution que de ce battre , fonça lui aussi en direction du Troll , qui d'un revers de la main le fit tomber lourdement à terre. N'écoutant que son instinct il ce releva , évitant le coup de gourdin qui lui était destiné , et , tel son Capitaine avant lui , il passa entre ses jambes , et grimpa sur son dos.
Le Troll , connaissant la tactique de son adversaire , ce mis à tourner sur lui même , lâchant son arme , et agitant ses bras au niveau de ses omoplates , espérant saisir le Sergent. Celui-ci tenter tant bien que mal de tenir sa position , même si extrêmement instable , il commit tout de même l'erreur de lever le bras , et avec , son épée. Le mastodonte , dans sa tentative désespérer de mettre la main sur Venant19 , réussi à saisir la lame , et la lançant au sol , ce fut tous le Sergent qui suivit , agrippant son arme, il ce trouvait maintenant à terre. Le Troll , ne tarda pas à ramasser sa masse , et tandis qu'il la levait , ce préparant à assigner le coup de grâce , Venant19 eu le réflexe de lâcher son épée et de rouler vers la gauche , avant que le coup fatal ne s'abatte au sol , faisant trembler tout le bâtiment.
Le Sergent , qui dans le choc fut propulser dans un coin de la pièce , réussi à ramper jusqu'à la dépouille d'un Garde , et ce saisi de son arc , dont la couleur , inhabituel , laissé refléter des nuances de violet. Il ne s'attarda cependant pas sur cette caractéristique , et , banda une flèche toute droit sorti du carquois de ce même soldat , et tandis que le Troll arrivait à toute allure , il décocha la flèche , qui vint ce loger dans son épaule , et qui , dans la plus grande stupéfaction du Sergent , le fit traverser toute la pièce , passant à son tour par la fenêtre avant d'aller s'écraser quelques mètres plus bas , dans la ruelle.
- Fortress... A jamais !
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Re: Les Débuts de Venant19
Bonjours à toutes et à tous ! C'est Venant19
Non de Dieu ! Je re-poste enfin une partie de mon RP ! Mais que m'arrive-t-il ? Suis-je donc de retour ? Et bien oui ! Alors que vous me pensiez mort, j'étais en fait assez occupé ! ( Et c'est toujours le cas d’ailleurs !) Cependant je n'ai jamais cessé d'écrire mon RP ! Et même si j'ai mis un peu de temps ! Il est terminé ! Alors sachez que désormais, je ne mettrai plus une année avant de poster un nouveau chapitre, et que ceux qui suivent seront mis en ligne assez souvent.
Je sais que la plupart d'entre-vous ont depuis longtemps décrochés, et qu'il sera surement dure de s'y remettre, mais j'espère que ceux qui auront le courage de recommencer à me suivre seront satisfaits ! Sur ce, je vous souhaite une bonne lecture !
Chapitre V Partie II:
Bien que stupéfait, le sergent ne pouvait se permettre de s'attarder sur cette curiosité. Encore sous le choc, il se releva cependant assez rapidement, récupérant son épée, à l'autre bout de la pièce, avant de s'approcher du rebord de la fenêtre. Là, il resta figer quelques secondes, les yeux rivaient sur le monstre, dont le corps sans vie, encombrer désormais la ruelle. Rapidement, il balaya du regard les alentours, cherchant désespérément la silhouette de 17, qui s'était vu éjecter par cette même fenêtre quelques minutes auparavant. Rappelé à l'ordre par le bruit des pas de l'ennemie ce rapprochant, il cessa ses recherches et se précipita dans le passage que l'Empereur avait emprunté, lui et son escorte.
Plusieurs minutes plus tard, après avoir parcouru la distance qui le séparait des autres, il fut soulagé de les revoir enfin, sain et sauf.
-Kathnis le questionnant: Où est le commandant ?
-Venant19 essoufflé: On a était séparé !
-Kathnis: C'est à dire ?
-Venant19: Je vous expliquerez plus tard ! Il faut se hâter, l'ennemie nous talonne ! Où mène ce passage ? »
-l'Empereur: C'est un tunnel qui débouche au Nord, derrière les murs de la Citadelle !
-Kathnis: Et comment on fait pour le commandant ?
-Venant19 On ne peut rien faire ! S’il est encore en vie, il nous retrouvera au point de rendez-vous !
Les discussions terminées, les trois jeunes combattants et l'Empereur se remirent en route, pressant le pas en entendant à que à quelques centaines de mètres derrière eux, le soldat approcher. Alors que le tunnel semblait interminable, ils aperçurent un peu plus, la lumière des rayons du soleil percer l'obscurité ambiante. Ils s'empressèrent de rejoindre la sortie, et purent chacun à leur tour admirer une grande et verdoyante prairie, avec, à sa lisière une épaisse forêt de sapin. Ici, on aurait pu croire que la guerre n'avait jamais eu lieu, et qu'aucun homme n'avait foulé le sol de ses pieds avant eux ; c'était un sentiment très fort, mais l’Empereur, sûrement plus préoccupé par sa propre sécurité que par la beauté du lieu, pousser les autres à le suivre.
Venant, avant de s'enfoncer avec ses compagnons sans les bois, jeta un dernier regard en direction de la sortie qu'ils avaient emprunté quelques instant auparavant, s'assurant que personne ne les suivaient.
La nuit tombé, les étoiles leur indiquèrent le chemin à suivre, et, bien qu’exténuer, ils rejoignirent le Fort où leur mission devait s'achever.
Ce qui restait d'un bataillon garder la porte, tandis qu'une dizaine d'archers patrouiller sur les murs en ruines qui délimiter le campement. Ils entrèrent sans aucuns problèmes, et alors qu'ils se dirigeaient en direction de leur quartier, après avoir confié l'Empereur à sa nouvelle escorte, Cependant, un soldat les interpella, et leur fit savoir qu'on les attendait dans une des tentes du commandement, immédiatement. Le doute les envahirent soudain; qui avait-il de si important qui ne pouvait pas attendre le lendemain ? En effet, la nuit était tombé depuis déjà plusieurs heures, l'Empereur était parti rejoindre ses nouveaux quartiers, et les trois amis comptaient faire de même. Ils ceux résolurent cependant à y aller, et tandis qu'ils entraient dans la tente, ils furent surpris de voir à l'autre bout de la pièce, Numéro 17, assis sur sa chaise, juste en face d'un bureau constitué de deux tréteaux et d'une planche de bois. Ils eurent à peine le temps de se mettre au garde à vous que 17 leur lança:
-Numéro 17: « Depuis quand abandonne-t-on son supérieur au combat !? »
A ses mots, tout le monde resta silencieux.
-Numéro 17 s'approchant : « 19 ! C'est à toi que je m'adresse ! »
-Venant19 droit comme un I : « Je ne vous ai pas abandonné mon Capitaine, je vous croyez mort ! »
-Numéro 17 en face de Venant : « Et qu'est-ce qui t'a amené à cette conclusion !? »
-Venant19 : « Vous avez chuté de pratiquement dix mètres... »
-Numéro 17 le coupant : « Tais-toi ! La prochaine fois que tu me fais un coup pareil, je te fais rétrograder ! C'est clair !? »
-Venant19 : « Chef, oui chef ! »
-Numéro 17 : « Maintenant déguerpissez ! Je vous ferez parvenir vos ordres de missions demain à la première heure.»
Comme ils étaient entrés, les trois amis ressortirent de la tente, se fixèrent quelques secondes, avant que l'un d'eux ne laisse échapper un soupir. Puis, ensemble ils firent routes en direction des baraquements où ils allaient enfin pouvoir prendre un peu de repos. Sur le chemin, ils croisèrent ce qui semblait être un soldat, légèrement alcoolisé et qui cherché visiblement à tenir debout. Cependant, il failli dans cette tâche, et vint s’échouer sur Venant dont les bras venaient de lui empêcher une lourde chute.
-Venant19 : « Hey bien Soldat ! Vous fêtez le retour de votre Empereur ! »
-Soldat Matricule 7854 : « Fêtez ?... Retour de notre Empereur… il n’y a bien que vous que cela réjouissent ! Grâce à vous on va pouvoir retournez crever dans une guerre inutile ! Ouais…. »
-Venant19 : « Attention à ce que vous dites Soldat, vous êtes à deux doigts de finir en cour martial ! »
-Soldat Matricule 7854 : « En cour martial !... Haha, si seulement ça pouvait être vrai, je serais tranquille, j’aurai plus à me battre au nom de ce batard ! Vous l’avez sauvez, bravo… vous mériteriez que je vous colle une bonne raclée. Tiens, c’est ce que je vais faire ! »
Le soldat, qui avait entre-temps retrouvait ses appuis tenta de mettre un coup de poing au Sergent, qui n’eut guère de mal à le parer et à lui coincer le bras derrière le dos.
-Venant19 : « Retournez dans vos quartiers soldat, avant que je ne vous emmène voir le chef de camp ! Il sera sans doute moins compréhensif que moi ! »
-Soldat Matricule 7854 : « Ex-excusez-moi, Sergent… » Dit-il d’un air sincère sous l’entrave des bras de Venant.
Le Sergent se dessaisit alors de lui, et reprit son chemin vers la bâtisse où il devait prendre ses quartiers. Non sans avoir était marqué par ce qu’il venait de vivre, il arriva, emplit de questions devant la porte en bois mal fixé qui faisait office d’entrée aux baraquements des sous-officiers. L’intérieur n’était que peu reluisant, les lits avaient du mal à tenir debout et les matelas, rembourré de pailles, laissé s’échapper par leurs coutures mal cousues de grandes quantités d’herbes sèches.
Pourtant cela n’étonna que guère nos trois combattants, dont la fatigue était telle qu’ils ne firent que peu de paroles avant de plonger dans leur sommeils. Tous trois avaient gardé leurs armures et leurs lames sur eux, ne s’ennuyant pas à les enlever, non par crainte d’un combat imminent, mais plutôt à cause du poids de la lassitude qui pesait sur leur épaules.
C'est tous pour aujourd'hui ! En espérant vous ayant contenté !
Cordialement, Venant19 !
Non de Dieu ! Je re-poste enfin une partie de mon RP ! Mais que m'arrive-t-il ? Suis-je donc de retour ? Et bien oui ! Alors que vous me pensiez mort, j'étais en fait assez occupé ! ( Et c'est toujours le cas d’ailleurs !) Cependant je n'ai jamais cessé d'écrire mon RP ! Et même si j'ai mis un peu de temps ! Il est terminé ! Alors sachez que désormais, je ne mettrai plus une année avant de poster un nouveau chapitre, et que ceux qui suivent seront mis en ligne assez souvent.
Je sais que la plupart d'entre-vous ont depuis longtemps décrochés, et qu'il sera surement dure de s'y remettre, mais j'espère que ceux qui auront le courage de recommencer à me suivre seront satisfaits ! Sur ce, je vous souhaite une bonne lecture !
Chapitre V Partie II:
Bien que stupéfait, le sergent ne pouvait se permettre de s'attarder sur cette curiosité. Encore sous le choc, il se releva cependant assez rapidement, récupérant son épée, à l'autre bout de la pièce, avant de s'approcher du rebord de la fenêtre. Là, il resta figer quelques secondes, les yeux rivaient sur le monstre, dont le corps sans vie, encombrer désormais la ruelle. Rapidement, il balaya du regard les alentours, cherchant désespérément la silhouette de 17, qui s'était vu éjecter par cette même fenêtre quelques minutes auparavant. Rappelé à l'ordre par le bruit des pas de l'ennemie ce rapprochant, il cessa ses recherches et se précipita dans le passage que l'Empereur avait emprunté, lui et son escorte.
Plusieurs minutes plus tard, après avoir parcouru la distance qui le séparait des autres, il fut soulagé de les revoir enfin, sain et sauf.
-Kathnis le questionnant: Où est le commandant ?
-Venant19 essoufflé: On a était séparé !
-Kathnis: C'est à dire ?
-Venant19: Je vous expliquerez plus tard ! Il faut se hâter, l'ennemie nous talonne ! Où mène ce passage ? »
-l'Empereur: C'est un tunnel qui débouche au Nord, derrière les murs de la Citadelle !
-Kathnis: Et comment on fait pour le commandant ?
-Venant19 On ne peut rien faire ! S’il est encore en vie, il nous retrouvera au point de rendez-vous !
Les discussions terminées, les trois jeunes combattants et l'Empereur se remirent en route, pressant le pas en entendant à que à quelques centaines de mètres derrière eux, le soldat approcher. Alors que le tunnel semblait interminable, ils aperçurent un peu plus, la lumière des rayons du soleil percer l'obscurité ambiante. Ils s'empressèrent de rejoindre la sortie, et purent chacun à leur tour admirer une grande et verdoyante prairie, avec, à sa lisière une épaisse forêt de sapin. Ici, on aurait pu croire que la guerre n'avait jamais eu lieu, et qu'aucun homme n'avait foulé le sol de ses pieds avant eux ; c'était un sentiment très fort, mais l’Empereur, sûrement plus préoccupé par sa propre sécurité que par la beauté du lieu, pousser les autres à le suivre.
Venant, avant de s'enfoncer avec ses compagnons sans les bois, jeta un dernier regard en direction de la sortie qu'ils avaient emprunté quelques instant auparavant, s'assurant que personne ne les suivaient.
La nuit tombé, les étoiles leur indiquèrent le chemin à suivre, et, bien qu’exténuer, ils rejoignirent le Fort où leur mission devait s'achever.
Ce qui restait d'un bataillon garder la porte, tandis qu'une dizaine d'archers patrouiller sur les murs en ruines qui délimiter le campement. Ils entrèrent sans aucuns problèmes, et alors qu'ils se dirigeaient en direction de leur quartier, après avoir confié l'Empereur à sa nouvelle escorte, Cependant, un soldat les interpella, et leur fit savoir qu'on les attendait dans une des tentes du commandement, immédiatement. Le doute les envahirent soudain; qui avait-il de si important qui ne pouvait pas attendre le lendemain ? En effet, la nuit était tombé depuis déjà plusieurs heures, l'Empereur était parti rejoindre ses nouveaux quartiers, et les trois amis comptaient faire de même. Ils ceux résolurent cependant à y aller, et tandis qu'ils entraient dans la tente, ils furent surpris de voir à l'autre bout de la pièce, Numéro 17, assis sur sa chaise, juste en face d'un bureau constitué de deux tréteaux et d'une planche de bois. Ils eurent à peine le temps de se mettre au garde à vous que 17 leur lança:
-Numéro 17: « Depuis quand abandonne-t-on son supérieur au combat !? »
A ses mots, tout le monde resta silencieux.
-Numéro 17 s'approchant : « 19 ! C'est à toi que je m'adresse ! »
-Venant19 droit comme un I : « Je ne vous ai pas abandonné mon Capitaine, je vous croyez mort ! »
-Numéro 17 en face de Venant : « Et qu'est-ce qui t'a amené à cette conclusion !? »
-Venant19 : « Vous avez chuté de pratiquement dix mètres... »
-Numéro 17 le coupant : « Tais-toi ! La prochaine fois que tu me fais un coup pareil, je te fais rétrograder ! C'est clair !? »
-Venant19 : « Chef, oui chef ! »
-Numéro 17 : « Maintenant déguerpissez ! Je vous ferez parvenir vos ordres de missions demain à la première heure.»
Comme ils étaient entrés, les trois amis ressortirent de la tente, se fixèrent quelques secondes, avant que l'un d'eux ne laisse échapper un soupir. Puis, ensemble ils firent routes en direction des baraquements où ils allaient enfin pouvoir prendre un peu de repos. Sur le chemin, ils croisèrent ce qui semblait être un soldat, légèrement alcoolisé et qui cherché visiblement à tenir debout. Cependant, il failli dans cette tâche, et vint s’échouer sur Venant dont les bras venaient de lui empêcher une lourde chute.
-Venant19 : « Hey bien Soldat ! Vous fêtez le retour de votre Empereur ! »
-Soldat Matricule 7854 : « Fêtez ?... Retour de notre Empereur… il n’y a bien que vous que cela réjouissent ! Grâce à vous on va pouvoir retournez crever dans une guerre inutile ! Ouais…. »
-Venant19 : « Attention à ce que vous dites Soldat, vous êtes à deux doigts de finir en cour martial ! »
-Soldat Matricule 7854 : « En cour martial !... Haha, si seulement ça pouvait être vrai, je serais tranquille, j’aurai plus à me battre au nom de ce batard ! Vous l’avez sauvez, bravo… vous mériteriez que je vous colle une bonne raclée. Tiens, c’est ce que je vais faire ! »
Le soldat, qui avait entre-temps retrouvait ses appuis tenta de mettre un coup de poing au Sergent, qui n’eut guère de mal à le parer et à lui coincer le bras derrière le dos.
-Venant19 : « Retournez dans vos quartiers soldat, avant que je ne vous emmène voir le chef de camp ! Il sera sans doute moins compréhensif que moi ! »
-Soldat Matricule 7854 : « Ex-excusez-moi, Sergent… » Dit-il d’un air sincère sous l’entrave des bras de Venant.
Le Sergent se dessaisit alors de lui, et reprit son chemin vers la bâtisse où il devait prendre ses quartiers. Non sans avoir était marqué par ce qu’il venait de vivre, il arriva, emplit de questions devant la porte en bois mal fixé qui faisait office d’entrée aux baraquements des sous-officiers. L’intérieur n’était que peu reluisant, les lits avaient du mal à tenir debout et les matelas, rembourré de pailles, laissé s’échapper par leurs coutures mal cousues de grandes quantités d’herbes sèches.
Pourtant cela n’étonna que guère nos trois combattants, dont la fatigue était telle qu’ils ne firent que peu de paroles avant de plonger dans leur sommeils. Tous trois avaient gardé leurs armures et leurs lames sur eux, ne s’ennuyant pas à les enlever, non par crainte d’un combat imminent, mais plutôt à cause du poids de la lassitude qui pesait sur leur épaules.
C'est tous pour aujourd'hui ! En espérant vous ayant contenté !
Cordialement, Venant19 !
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Re: Les Débuts de Venant19: Un Empire en Perdition
Toujours aussi bien, je désespérai de ne pas avoir la suite !
Reporter/Responsable Vidéaste depuis le 24 février 2015
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"Je vais mettre un terme a votre idéologie barbare de répartition équitable des richesses !"
"La vie est une pilule contraceptive "
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"Je vais mettre un terme a votre idéologie barbare de répartition équitable des richesses !"
"La vie est une pilule contraceptive "
Re: Les Débuts de Venant19: Un Empire en Perdition
Salut tous le monde ! Voici déjà la suite, car j'ai envie d’enchaîner non d'une pipe ^^
Chapitre VI: Doutes…
Plusieurs jours étaient passés depuis le retour de l’Empereur, et rien ne semblait atténuer les doutes que le soldat avait répandu dans leur esprits, toutes leur pensées depuis, ne convergeaient que dans une seule direction, une seule question cultivant le doute dans leur psychés: « Etaient-ils dans le bon camp ? ». Pour le moment, rien ne semblait pouvoir amener une réponse à nos combattants, mais la graine était semée, et rien ne pourrait plus l’empêcher de germer, inexorablement elle grandirait…
Néanmoins, les circonstances n’étaient pas à la réflexion, et à peine avaient-ils terminé leur mission, qu’ils s’en virent confier une autre par leur supérieur, 17, qui venait d’accéder à un grade plus élevé, suite à son retour héroïque au campement. Il avait ordonné à Venant et à Kathnis de venir en aide à un bataillon, plus au Nord, dont le siège contre ville ennemie, commençait à s’éterniser.
A leur arrivé, l’effet fut immédiat, grâce au courage et à l’audace du jeune Sergent, la ville, dont les murailles semblaient impénétrable, ne mirent pas longtemps à tomber, et c’est alors que l’armée s’engouffra dans une terrible bataille. Rien n’aurai pu laisser penser qu’un tel massacre verrait le jour en ce lieu, mais bientôt, le feu débuta, d’abord dans les maisons de bois et de pailles, puis dans les quartiers, qui, petits à petits, furent à leur tour envahies par les flammes, ne faisant aucun prisonnier, rien ne pouvait leur résister. Et au beau milieu des combats sanglants, la nuit était tombée, et jusque au petit jour, l’affrontement n’aurai de cesse de continuer. La victoire était leur, mais au prix de nombreux sacrifice.
Quelques heures plus tard
Les prisonniers capturaient durant le siège de la ville ceux trouvaient désormais au beau milieu de la place publique. Parmi eux, le seigneur des lieux, quelques un des gardes qui avaient participés à la défense de la cité, mais aussi de nombreux villageois piochaient au hasard parmi ceux qui se trouvaient dans la foule, appelés par les forces en présences à regarder.
Tous étaient à genoux, le visage fixant le sol et les mains derrière la tête. On pouvait facilement lire la peur, la tristesse ou encore l’incompréhension sur leur visage, le seigneur quant à lui, n’échappant pas au flot d’émotions qui l’envahissait était situé légèrement devant les autres.
Les soldats victorieux formaient un cercle, empêchant la foule ou qui que ce soit de pénétrer dans la zone où étaient situés les condamnés, de l’autre côté, l’agitation commencée à se faire sentir, les cris et les insultes fusaient en direction des gardes, imperturbables !
Venant et Kathnis, au milieu de ce qui ressemblait à un peloton d’exécution, ne faisaient qu’observaient, impuissant, l’application des ordres du commandant, qui s’avança soudainement vers l’un des prisonniers. L’agitation sembla cessait un moment, laissant le calme réapparaitre, du moins en parti, en effet les pleurs d’une femme transperçaient le silence récemment apparut, forçant Venant à reprendre ces esprits, et à prendre conscience de la situation.
Tandis que le Commandant se saisissait de sa lame, les pleurs s’amplifièrent, obligeant l’un des gardes à hurler qu’elle se taise, et la menaçant de l’emmener avec les autres, cependant cela n’eut guère d’effet, et ce dernier, exaspéré traversa la foule et se saisi de la pauvre femme par le bras, avant de la tirer violemment en direction des autres.
Venant, choqué par tant haine décida d’intervenir, et se dirigea vers le garde, lui saisissant à son tour le bras.
- Venant19 d’un regard noir : « Lâchez-la ! »
- Soldat Matricule 1256 interloqué : « Vous rigolez !? »
- Venant19 d’une voix forte : « J’ai dit… Lâchez-la ! »
Sur ces mots, il ne fallut que peu de temps pour que l’homme ne se dessaisisse de la jeune femme, qui continuait inlassablement de pleurer.
- Venant19 calmement : « L’homme vers lequel le commandant c’est avancé, c’est quelqu’un que vous connaissez, n’est-ce pas ? »
- La Jeune Femme entre deux sanglots : « Ou…Oui… »
- Venant19 sortant de sa poche un vieux mouchoir en tissu : « Tenez, prenez cela, je vais voir ce que je peux faire »
Le Sergent hésita quelques instants avant de s’avancer près du commandant, qui s’apprêtait à faire don de la sentence au prisonnier.
-Venant19 : « Commandant ! J’ai à vous parler ! »
-Le Commandant : « Je suis occupé au cas où vous n’auriez pas remarqué ! Ca ne peut pas attendre ? »
-Venant19 : « Commandant ! »
-Le Commandant baissant son épée : « Quoi !? Qui-a-t-il Sergent ?! »
-Venant19 : « Ne pouvez-vous pas gracier cet homme ? Il ne s’agit que d’un villageois après tous ! »
-Le Commandant : « Oui, comme vous dites, ce n’est qu’un villageois ! Je ne vois pas vraiment en quoi le sort d’un simple paysan vous importe ! »
-Venant19 : « Il m’importe, c’est tout ! Cet homme n’a rien fait pour mériter la mort ! Il a était choisi au hasard parmi les personnes présentes à cet instant ! »
-Le Commandant : « Ecoutez-moi Sergent, ce sont les ordres de l’Empereur ! Nous devons faire des exemples parmi les populations conquises ! »
Il leva son épée de nouveau, prit de l’élan, et alors que la lame allait s’abattre sur le pauvre homme, Venant, ne réfléchissant guère dégaina la sienne à son tour et vint bloquer l’arme de son supérieur avant qu’elle n’ait pu atteindre sa cible.
-Le Commandant excédé : « Sergent ! Vous opposez-vous à mes ordres et à ceux de l’Empereur ?! »
-Venant19 prenant à peine conscience de ce qu’il venait de faire: « Je crois que c’est clair, non ? »
-Le Commandant : « Sergent, vous avez exactement trois secondes pour retirer votre arme ! »
-Venant19 : « Et vous en avez exactement deux pour faire de même avant que je ne vous tranche la main ! »
-Le Commandant : « Vous me menacez Sergent !? »
-Venant19 : « Prenez le plutôt comme un avertissement, Commandant. »
Les deux s’échangèrent un regard, s’en suivit un très long moment de réflexion. Kathnis, toute la foule, ainsi que tous les gardes suivaient la scène, ébahies par un tel acte de la part du Sergent. Finalement, le Commandant, sachant éperdument qu’il allait tous droit à la mort s’il se risquait à un combat avec Venant, céda, et laissa le villageois vivre. Seulement, ce ne fut pas le cas de tous les autres, qui tombèrent de tous leur poids sous les yeux de Venant, désespéré de ne pas avoir pu empêcher le meurtre de tous ses innocents. Mais il avait pu en sauver un, et aux yeux de la jeune femme cela équivalait bien au monde entier.
Chapitre VI: Doutes…
Plusieurs jours étaient passés depuis le retour de l’Empereur, et rien ne semblait atténuer les doutes que le soldat avait répandu dans leur esprits, toutes leur pensées depuis, ne convergeaient que dans une seule direction, une seule question cultivant le doute dans leur psychés: « Etaient-ils dans le bon camp ? ». Pour le moment, rien ne semblait pouvoir amener une réponse à nos combattants, mais la graine était semée, et rien ne pourrait plus l’empêcher de germer, inexorablement elle grandirait…
Néanmoins, les circonstances n’étaient pas à la réflexion, et à peine avaient-ils terminé leur mission, qu’ils s’en virent confier une autre par leur supérieur, 17, qui venait d’accéder à un grade plus élevé, suite à son retour héroïque au campement. Il avait ordonné à Venant et à Kathnis de venir en aide à un bataillon, plus au Nord, dont le siège contre ville ennemie, commençait à s’éterniser.
A leur arrivé, l’effet fut immédiat, grâce au courage et à l’audace du jeune Sergent, la ville, dont les murailles semblaient impénétrable, ne mirent pas longtemps à tomber, et c’est alors que l’armée s’engouffra dans une terrible bataille. Rien n’aurai pu laisser penser qu’un tel massacre verrait le jour en ce lieu, mais bientôt, le feu débuta, d’abord dans les maisons de bois et de pailles, puis dans les quartiers, qui, petits à petits, furent à leur tour envahies par les flammes, ne faisant aucun prisonnier, rien ne pouvait leur résister. Et au beau milieu des combats sanglants, la nuit était tombée, et jusque au petit jour, l’affrontement n’aurai de cesse de continuer. La victoire était leur, mais au prix de nombreux sacrifice.
Quelques heures plus tard
Les prisonniers capturaient durant le siège de la ville ceux trouvaient désormais au beau milieu de la place publique. Parmi eux, le seigneur des lieux, quelques un des gardes qui avaient participés à la défense de la cité, mais aussi de nombreux villageois piochaient au hasard parmi ceux qui se trouvaient dans la foule, appelés par les forces en présences à regarder.
Tous étaient à genoux, le visage fixant le sol et les mains derrière la tête. On pouvait facilement lire la peur, la tristesse ou encore l’incompréhension sur leur visage, le seigneur quant à lui, n’échappant pas au flot d’émotions qui l’envahissait était situé légèrement devant les autres.
Les soldats victorieux formaient un cercle, empêchant la foule ou qui que ce soit de pénétrer dans la zone où étaient situés les condamnés, de l’autre côté, l’agitation commencée à se faire sentir, les cris et les insultes fusaient en direction des gardes, imperturbables !
Venant et Kathnis, au milieu de ce qui ressemblait à un peloton d’exécution, ne faisaient qu’observaient, impuissant, l’application des ordres du commandant, qui s’avança soudainement vers l’un des prisonniers. L’agitation sembla cessait un moment, laissant le calme réapparaitre, du moins en parti, en effet les pleurs d’une femme transperçaient le silence récemment apparut, forçant Venant à reprendre ces esprits, et à prendre conscience de la situation.
Tandis que le Commandant se saisissait de sa lame, les pleurs s’amplifièrent, obligeant l’un des gardes à hurler qu’elle se taise, et la menaçant de l’emmener avec les autres, cependant cela n’eut guère d’effet, et ce dernier, exaspéré traversa la foule et se saisi de la pauvre femme par le bras, avant de la tirer violemment en direction des autres.
Venant, choqué par tant haine décida d’intervenir, et se dirigea vers le garde, lui saisissant à son tour le bras.
- Venant19 d’un regard noir : « Lâchez-la ! »
- Soldat Matricule 1256 interloqué : « Vous rigolez !? »
- Venant19 d’une voix forte : « J’ai dit… Lâchez-la ! »
Sur ces mots, il ne fallut que peu de temps pour que l’homme ne se dessaisisse de la jeune femme, qui continuait inlassablement de pleurer.
- Venant19 calmement : « L’homme vers lequel le commandant c’est avancé, c’est quelqu’un que vous connaissez, n’est-ce pas ? »
- La Jeune Femme entre deux sanglots : « Ou…Oui… »
- Venant19 sortant de sa poche un vieux mouchoir en tissu : « Tenez, prenez cela, je vais voir ce que je peux faire »
Le Sergent hésita quelques instants avant de s’avancer près du commandant, qui s’apprêtait à faire don de la sentence au prisonnier.
-Venant19 : « Commandant ! J’ai à vous parler ! »
-Le Commandant : « Je suis occupé au cas où vous n’auriez pas remarqué ! Ca ne peut pas attendre ? »
-Venant19 : « Commandant ! »
-Le Commandant baissant son épée : « Quoi !? Qui-a-t-il Sergent ?! »
-Venant19 : « Ne pouvez-vous pas gracier cet homme ? Il ne s’agit que d’un villageois après tous ! »
-Le Commandant : « Oui, comme vous dites, ce n’est qu’un villageois ! Je ne vois pas vraiment en quoi le sort d’un simple paysan vous importe ! »
-Venant19 : « Il m’importe, c’est tout ! Cet homme n’a rien fait pour mériter la mort ! Il a était choisi au hasard parmi les personnes présentes à cet instant ! »
-Le Commandant : « Ecoutez-moi Sergent, ce sont les ordres de l’Empereur ! Nous devons faire des exemples parmi les populations conquises ! »
Il leva son épée de nouveau, prit de l’élan, et alors que la lame allait s’abattre sur le pauvre homme, Venant, ne réfléchissant guère dégaina la sienne à son tour et vint bloquer l’arme de son supérieur avant qu’elle n’ait pu atteindre sa cible.
-Le Commandant excédé : « Sergent ! Vous opposez-vous à mes ordres et à ceux de l’Empereur ?! »
-Venant19 prenant à peine conscience de ce qu’il venait de faire: « Je crois que c’est clair, non ? »
-Le Commandant : « Sergent, vous avez exactement trois secondes pour retirer votre arme ! »
-Venant19 : « Et vous en avez exactement deux pour faire de même avant que je ne vous tranche la main ! »
-Le Commandant : « Vous me menacez Sergent !? »
-Venant19 : « Prenez le plutôt comme un avertissement, Commandant. »
Les deux s’échangèrent un regard, s’en suivit un très long moment de réflexion. Kathnis, toute la foule, ainsi que tous les gardes suivaient la scène, ébahies par un tel acte de la part du Sergent. Finalement, le Commandant, sachant éperdument qu’il allait tous droit à la mort s’il se risquait à un combat avec Venant, céda, et laissa le villageois vivre. Seulement, ce ne fut pas le cas de tous les autres, qui tombèrent de tous leur poids sous les yeux de Venant, désespéré de ne pas avoir pu empêcher le meurtre de tous ses innocents. Mais il avait pu en sauver un, et aux yeux de la jeune femme cela équivalait bien au monde entier.
- Fortress... A jamais !
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Re: Les Débuts de Venant19: Un Empire en Perdition
Encore un chapitre !
Chapitre VII: Bonne Route !
De retour de sa mission, le Sergent ne tarda pas à aller faire son rapport à son supérieur, qui n’était autre que Numéro 17, et une nouvelle fois, il savait que ce qu’il allait lui dire ne lui plairait guère.
A peine fut-il arrivait, qu’il descendit de son cheval en direction du pavillon, le visage pensif et les sourcils fronçaient il ne tarda pas à arriver devant l’entrée, là, deux gardes tirèrent chacun un bout du lourd tissu qui faisait office de porte, mais avant qu’il n’ait eu le temps de faire un pas, Kathnis, qui le suivait de près, l’interpela :
-Kathnis : « Où vas-tu d’un pas si pressait ? Il se passe quelque chose ? »
-Venant19 : « Non, n’ai crainte, je vais seulement faire mon rapport à 17 ! »
-Kathnis : « Je viens avec toi, nous étions ensemble sur cette mission »
-Venant19 fermement : « Non ! … Je veux dire, non, c’est inutile, va donc te reposer, je peux le faire pour nous deux »
-Kathnis intriguée : « D’accord… si tu y tiens tant que ça… »
Tandis qu’elle faisait demi-tour, Venant laissa ses yeux posaient sur elle quelques secondes encore avant de se décider enfin à entrer. Une fois à l’intérieur, il vit, debout devant un grand bureau en chêne massif, 17, en train de scruter un plan, sculpté dans le cuir d’un quelconque animal, où on pouvait y voir clairement, de petits drapeaux de couleur rouges ou noir, posé à certains endroits, mais l’un d’entre eux, plus gros que les autres attira l’attention de Venant, il s’agissait d’une pièce d’échec, représentant un Roi apposé à coté de trois petits étendards noir comme la nuit, ils semblaient désigner l’emplacement du camp royal, où se trouvait le monarque adverse. Il n’eut cependant guère le temps d’admirer la finesse des fioritures de la carte, car Numéro 17, ayant senti sa présence lui lança quelques mots :
-Numéro 17 d’une voix grave : « Venant ! Je t’attendais, j’ai eu vent de tes exploits… bravo ! Tu as une nouvelle fois désobéit à des ordres, et tu as même provoqué un de tes supérieurs ! Est-ce que tu te fous de moi ?! »
-Venant19 au garde à vous : « Avec tous le respect que je vous dois monsieur, je n’approuve pas que l’on s’en prenne à des civils innocents ! »
-Numéro 17 énervé : « Mais j’en ai rien à foutre de ce que tu approuves ou non ! Tu suis les ordres, un point c’est tout ! … Je commence vraiment à en avoir marre de toi. Tu hériteras de dix coups de fouets pour cet outrage ! »
-Venant19 s’énervant : « Non. »
-Numéro 17 frappant de son poing la table : « Comment ça « non » ? Tu te prends pour qui ! Tu as failli combattre un de tes propres camarades ! Et pire encore tu as désobéi à un ordre venant de l’Empereur lui-même ! Tu ne mérites même pas ton rang ! »
-Venant19 inspirant fortement : « Si cet ordre venait de l’Empereur lui-même, laissait moi alors vous dire que l’Empereur est un enfant de salaud de la pire espèce, et que si je ne mérite pas mon rang, alors lui ne mérite pas son titre ! »
-Numéro 17 choqué : « Comment oses-tu !? Tu seras exécuté pour de telles insultes ! Garde ! Saisissez-vous de ce Traitre ! »
C’est alors que Venant dégaina son épée, avant de donner un puissant coup de pied dans le bureau, qui sous la force du coup se renversa sur 17, alors plaqué au sol. Les deux gardes à l’extérieur de la tente, ne tardèrent pas à entrer, suivi de près par un troisième, il s’engagea alors un duel visuel entre les quatre hommes. Tous sur leurs appuis, ils se jaugeaient l’un l’autre, mais soudain, l’un d’entre eux prit l’initiative de passer à l’attaque, la lame au-dessus de la tête, il fonça en direction de Venant. Ce-dernier, alors encore excédé par la conversation qu’il venait d’avoir, se baissa et passa derrière le soldat, avant de lui trancher le tendon d’Achille d’un coup net, il s’avança ensuite vers le second homme, qui tenta de lui asséner un coup direct de sa lame, mais le Sergent la bloqua, avant de le projeter dehors d’un puissant coup de pied. Le dernier homme, alors derrière Venant, essaya de jouer de la surprise, et lui fonça dans le dos, mais se fut peine perdu, en effet 19 se retourna presque instantanément et fit passer le soldat par-dessus son épaule avant d’aller lourdement s’écraser au sol.
Venant expira alors quelques fois dans l’air humide et froide de la tente, avant de ranger son épée et de filer vers son cheval, mais c’était sans compter sur Kathnis et Numéro 18, qui avertit par le bouquant, arrivèrent en direction des quartiers de 17. Le Sergent, à peine monté sur sa selle, fut alors surpris de voir ses deux compagnons a à peine quelques mètres de lui.
-Kathnis intriguée : « Que fais-tu ?! Et que s’est-il passait ici ? »
-Venant19 : « Je ne peux plus rester ici, 17 veut ma mort ! Et je ne veux plus combattre pour un tyran comme l’Empereur »
-Kathnis : « Alors tu fuis ? Mais pour aller où ? Il te retrouvera ! »
-Venant19 : « Je pars en direction du camp ennemi ! Peut-être acceptera-t-il mes services ! »
-Kathnis : « Je viens avec toi ! Et cette fois tu ne pourras pas me faire changer d’avis ! »
-Numéro 18 : « Je te suivrai jusqu’en enfer si il le fallait ! Alors tu peux compter sur moi ! »
-Venant19 : « D’accord ! Mais il faut faire vite ! D’autres soldats vont arriver ! Grimper sur vos chevaux et suivez-moi ! »
A peine eurent-ils dégoté deux montures qu’ils foncèrent au triple-galop en direction du bois sombre situé à quelques centaines de mètres du camp, il leur offrirait la sécurité pour la nuit, mais seules les Dieux savent ce qu’ils y trouveront…
C'est tous pour aujourd'hui !
Cordialement, Venant19
Chapitre VII: Bonne Route !
De retour de sa mission, le Sergent ne tarda pas à aller faire son rapport à son supérieur, qui n’était autre que Numéro 17, et une nouvelle fois, il savait que ce qu’il allait lui dire ne lui plairait guère.
A peine fut-il arrivait, qu’il descendit de son cheval en direction du pavillon, le visage pensif et les sourcils fronçaient il ne tarda pas à arriver devant l’entrée, là, deux gardes tirèrent chacun un bout du lourd tissu qui faisait office de porte, mais avant qu’il n’ait eu le temps de faire un pas, Kathnis, qui le suivait de près, l’interpela :
-Kathnis : « Où vas-tu d’un pas si pressait ? Il se passe quelque chose ? »
-Venant19 : « Non, n’ai crainte, je vais seulement faire mon rapport à 17 ! »
-Kathnis : « Je viens avec toi, nous étions ensemble sur cette mission »
-Venant19 fermement : « Non ! … Je veux dire, non, c’est inutile, va donc te reposer, je peux le faire pour nous deux »
-Kathnis intriguée : « D’accord… si tu y tiens tant que ça… »
Tandis qu’elle faisait demi-tour, Venant laissa ses yeux posaient sur elle quelques secondes encore avant de se décider enfin à entrer. Une fois à l’intérieur, il vit, debout devant un grand bureau en chêne massif, 17, en train de scruter un plan, sculpté dans le cuir d’un quelconque animal, où on pouvait y voir clairement, de petits drapeaux de couleur rouges ou noir, posé à certains endroits, mais l’un d’entre eux, plus gros que les autres attira l’attention de Venant, il s’agissait d’une pièce d’échec, représentant un Roi apposé à coté de trois petits étendards noir comme la nuit, ils semblaient désigner l’emplacement du camp royal, où se trouvait le monarque adverse. Il n’eut cependant guère le temps d’admirer la finesse des fioritures de la carte, car Numéro 17, ayant senti sa présence lui lança quelques mots :
-Numéro 17 d’une voix grave : « Venant ! Je t’attendais, j’ai eu vent de tes exploits… bravo ! Tu as une nouvelle fois désobéit à des ordres, et tu as même provoqué un de tes supérieurs ! Est-ce que tu te fous de moi ?! »
-Venant19 au garde à vous : « Avec tous le respect que je vous dois monsieur, je n’approuve pas que l’on s’en prenne à des civils innocents ! »
-Numéro 17 énervé : « Mais j’en ai rien à foutre de ce que tu approuves ou non ! Tu suis les ordres, un point c’est tout ! … Je commence vraiment à en avoir marre de toi. Tu hériteras de dix coups de fouets pour cet outrage ! »
-Venant19 s’énervant : « Non. »
-Numéro 17 frappant de son poing la table : « Comment ça « non » ? Tu te prends pour qui ! Tu as failli combattre un de tes propres camarades ! Et pire encore tu as désobéi à un ordre venant de l’Empereur lui-même ! Tu ne mérites même pas ton rang ! »
-Venant19 inspirant fortement : « Si cet ordre venait de l’Empereur lui-même, laissait moi alors vous dire que l’Empereur est un enfant de salaud de la pire espèce, et que si je ne mérite pas mon rang, alors lui ne mérite pas son titre ! »
-Numéro 17 choqué : « Comment oses-tu !? Tu seras exécuté pour de telles insultes ! Garde ! Saisissez-vous de ce Traitre ! »
C’est alors que Venant dégaina son épée, avant de donner un puissant coup de pied dans le bureau, qui sous la force du coup se renversa sur 17, alors plaqué au sol. Les deux gardes à l’extérieur de la tente, ne tardèrent pas à entrer, suivi de près par un troisième, il s’engagea alors un duel visuel entre les quatre hommes. Tous sur leurs appuis, ils se jaugeaient l’un l’autre, mais soudain, l’un d’entre eux prit l’initiative de passer à l’attaque, la lame au-dessus de la tête, il fonça en direction de Venant. Ce-dernier, alors encore excédé par la conversation qu’il venait d’avoir, se baissa et passa derrière le soldat, avant de lui trancher le tendon d’Achille d’un coup net, il s’avança ensuite vers le second homme, qui tenta de lui asséner un coup direct de sa lame, mais le Sergent la bloqua, avant de le projeter dehors d’un puissant coup de pied. Le dernier homme, alors derrière Venant, essaya de jouer de la surprise, et lui fonça dans le dos, mais se fut peine perdu, en effet 19 se retourna presque instantanément et fit passer le soldat par-dessus son épaule avant d’aller lourdement s’écraser au sol.
Venant expira alors quelques fois dans l’air humide et froide de la tente, avant de ranger son épée et de filer vers son cheval, mais c’était sans compter sur Kathnis et Numéro 18, qui avertit par le bouquant, arrivèrent en direction des quartiers de 17. Le Sergent, à peine monté sur sa selle, fut alors surpris de voir ses deux compagnons a à peine quelques mètres de lui.
-Kathnis intriguée : « Que fais-tu ?! Et que s’est-il passait ici ? »
-Venant19 : « Je ne peux plus rester ici, 17 veut ma mort ! Et je ne veux plus combattre pour un tyran comme l’Empereur »
-Kathnis : « Alors tu fuis ? Mais pour aller où ? Il te retrouvera ! »
-Venant19 : « Je pars en direction du camp ennemi ! Peut-être acceptera-t-il mes services ! »
-Kathnis : « Je viens avec toi ! Et cette fois tu ne pourras pas me faire changer d’avis ! »
-Numéro 18 : « Je te suivrai jusqu’en enfer si il le fallait ! Alors tu peux compter sur moi ! »
-Venant19 : « D’accord ! Mais il faut faire vite ! D’autres soldats vont arriver ! Grimper sur vos chevaux et suivez-moi ! »
A peine eurent-ils dégoté deux montures qu’ils foncèrent au triple-galop en direction du bois sombre situé à quelques centaines de mètres du camp, il leur offrirait la sécurité pour la nuit, mais seules les Dieux savent ce qu’ils y trouveront…
C'est tous pour aujourd'hui !
Cordialement, Venant19
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Re: Les Débuts de Venant19: Un Empire en Perdition
Chapitre VIII: Rencontre
Venant entra pour la première fois dans la tente royale avec pour but de rejoindre l'armée du Roi Erwin9, à l’intérieur, les étendards de toutes les maisons ayant prêtaient serment d'allégeance au Roi étaient étendues de part et d'autres des murs de toiles, seul celui de la Maison souveraine se trouvait au-dessus du trône, vide, elle représentait un Aigle noir et fier sur fond de rouge écarlate. Les Hommes qui ceux trouvaient ici furent étonnées de voir Venant ainsi que deux autres personnes revêtant sur leur armure l'écusson Impérial. Deux soldats s'approchèrent et ceux placèrent entre Venant, ses deux Hommes, et le reste de l'assemblée, l'un d'entre eux posa son bras sur l'épaule du Sergent et dit d'une voix roc.
-Le Soldat: «Halte ! Qui êtes-vous ? Et qui vous a autorisés à pénétrer dans les appartements privé du seul et unique Souverain de ses terres !?»
Venant fixa lourdement la main du soldat apposé sur lui, qui ne tarda pas à la retirer, et enchaîna.
-Venant19: «Je viens offrir mes services et ceux de mes Hommes à votre Roi !»
-Le Soldat: «Et qu'est-ce qui vous laisse à penser qu'il aura besoin de vos services ?»
-Venant19: «Rien... Mais il est plus sage de m'avoir de son côté !»
-Le Soldat: «Vous portez l'écusson de l'Empire et vous pensez que nous allons vous laisser vous entretenir avec notre bien aimé Suzerain ! Une telle offense mériterai que je vous tues !»
Il dégaina son arme, et suite à cela tout le monde en fit de même, mais personne n’entrepris quoi que ce soit, de peur de déclencher un bain de sang. Mais soudain, une voix s'éleva
-Inconnu(e): «Cessons voulez-vous, rangez vos armes ! Nous n'allons quand même pas nous entre tuer pour quelques écussons ! Si ses jeunes gens ont pris la peine de venir jusqu'à moi pour m'offrir leur services, qui serai-je si je n'acceptai pas, au moins, de les entendre.»
Une silhouette apparut soudain et laissa place à un homme, devant qui les soldats s'écartèrent pour le laissé passer. Il se trouva bientôt devant Venant, rangeant son arme.
-L'homme: «Alors, de quoi voulez-vous m'entretenir ?»
Venant, épiant l'homme devant lui ne tarda pas à lui répondre
-Venant19: «Je ne veux en aucun cas m'entretenir de quoi que ce soit avec vous ! Je veux parler avec le Roi en personne !»
L’homme, devant lui, fronça les sourcils comme signe d'incompréhension.
-L'homme: «Mais... Vous l'avez devant vous, en chair et en os !»
Venant détourna le regard en direction de l’assemblé, il semblait chercher quelqu'un.
-Venant19: «Vous ne portez aucunement les couleurs de la Maison du Roi ! Mais celle de l'un de ces bannerets, je me trompes ?»
Un applaudissement solitaire jaillit soudain dans la pièce «Bravo !» s’exclama ensuite un homme qui tenter de se frayer un chemin jusqu’au trône.
-Le Roi: «Vous êtes un fin observateur ! Mais cela ne fais pas pour autant de vous un homme de confiance ! Pourquoi donc arborez-vous les couleurs de l'Empereur ? Vous voulez être tué ?»
-Venant19: «Sans vouloir vous manquer de respect mon Seigneur, je n'ai eu aucun mal à arriver jusque à vous, mais la vérité est que je n'ai aucunement eu le temps de revêtir une nouvelle armure ! Et le fait est que j'ai pris conscience de qui était véritablement l'Empereur, et j'aimerai le combattre à vos côtés ! Si vous l'acceptez !»
-Le Roi: «J'aimerai pouvoir vous faire confiance mais pour cela je vais avoir besoin de preuves ! Pour commencer, qui êtes-vous ?»
-Venant19: «Je me présente, je suis Venant19, et voilà Kathnis et 18 ! Nous fumes tous les trois des combattants formaient pour être les plus fines lames de l'Empereur, nous avons passez le plus claire de notre vie enfermé dans une Académie, au tréfonds de l’Empire, où nous avons été formés aux techniques de combats et de survies. Récemment, des missions nous ont été assignés, et nous y avons appris qui était vraiment ce soit disant «Empereur» ! Suite à cela nous avons fuis pour rejoindre vos rangs, et nous y voilà !»
-Le Roi: «19, 18 ? En voilà des «noms» peux commodes !»
-Venant19: «En effet, durant notre formation à l’Académie, nous nous sommes vue assignés des Numéros, sans doute pour effacer toutes traces d'une existence passé... mais certains d'entre nous ceux souviennent encore de leur prénoms ou de leur surnoms»
-Le Roi: «Intéressant..., maintenant que vous vous êtes présenté, il est de coutume que j'en fasse de même. Je me présente alors à mon tour, je suis Erwin neuvième du nom ! Suzerain des terres de l'Ouest, Pourfendeur de la septième armée, et détenteur des joyaux de Hurlevent ! Bien ! Maintenant que les présentations sont faites passons à l’étape suivante, si vous voulez réellement rejoindre nos rangs, il va falloir me montrer de quoi vous êtes capables, et plus important encore, me prouver votre engagement !»
Venant, qui ne voulait pas perdre de temps dans des missions futiles qui n’auraient que pour but de prouver ce qu’il savait déjà, pris une dangereuse initiative, alors qu’Erwin n’avait pas encore cessé de parler, le Sergent saisit son épée de sa main droite avant de reculer d’un pas pour prendre son appuis. Les Gardes royaux, ayant remarqué ce mouvement soudain, dégainèrent leurs épées et se placèrent devant les convives, tous le long du tapis centrale où personne n’était présent. C’est alors que dans l’incompréhension total de ses deux amis, Venant se mit à foncer, arme à la main, en direction du souverain, qui n’avait pas encore comprit ce qu’il se passait. Les Gardes eurent beaux essayer de le stopper, l’ex Sergent Impérial traversa la défense royale sans grande difficulté, bloquant un à un les coups des combattants tout en continuant d’avancer. Sa course terminé, il se trouvait maintenant juste à la hauteur du Roi, la pointe de sa lame au niveau de son cou. Et alors que les convives et la garde étaient désormais immobiles, retenant leur souffle en attendant l’action prochaine de Venant, celui-ci, contre toute attente rengaina son arme.
-Venant19: « Voilà ce dont je suis capable, comme mes amis le sont aussi. Et si il vous fallait une preuve de ma confiance, la voilà, j’aurai très bien pu vous tuer et m’en aller comme j’étais venu, cependant je ne l’ai pas fait, votre vie à bien trop d’importance à mes yeux ! Vous êtes le seul capable de m’aider à arrêter l’Empereur. »
-Erwin9 : « Eh bien dites-moi, vos manières sont peu commodes ! Mais vous dites vrai, je vous accorde donc ma confiance ! Tachez d’en faire bonne usage. Mes Hommes vont vous conduire aux baraquements, où vous pourrez passer la nuit. Demain je m’entretiendrai avec vous, et je vous confierez votre première mission. »
-Venant19 : « Merci Monsieur. »
C’est alors qu’il fit demi-tour, traversant de nouveau la pièce entière, d’un pas nonchalant, la main gauche sur le pommeau de son épée, et le cœur empli de satisfaction. Il frôla alors ses deux camarades encore abasourdis par ce qu’il venait de se passer, mais qui ne tardèrent pas à le suivre encore une fois.
Venant entra pour la première fois dans la tente royale avec pour but de rejoindre l'armée du Roi Erwin9, à l’intérieur, les étendards de toutes les maisons ayant prêtaient serment d'allégeance au Roi étaient étendues de part et d'autres des murs de toiles, seul celui de la Maison souveraine se trouvait au-dessus du trône, vide, elle représentait un Aigle noir et fier sur fond de rouge écarlate. Les Hommes qui ceux trouvaient ici furent étonnées de voir Venant ainsi que deux autres personnes revêtant sur leur armure l'écusson Impérial. Deux soldats s'approchèrent et ceux placèrent entre Venant, ses deux Hommes, et le reste de l'assemblée, l'un d'entre eux posa son bras sur l'épaule du Sergent et dit d'une voix roc.
-Le Soldat: «Halte ! Qui êtes-vous ? Et qui vous a autorisés à pénétrer dans les appartements privé du seul et unique Souverain de ses terres !?»
Venant fixa lourdement la main du soldat apposé sur lui, qui ne tarda pas à la retirer, et enchaîna.
-Venant19: «Je viens offrir mes services et ceux de mes Hommes à votre Roi !»
-Le Soldat: «Et qu'est-ce qui vous laisse à penser qu'il aura besoin de vos services ?»
-Venant19: «Rien... Mais il est plus sage de m'avoir de son côté !»
-Le Soldat: «Vous portez l'écusson de l'Empire et vous pensez que nous allons vous laisser vous entretenir avec notre bien aimé Suzerain ! Une telle offense mériterai que je vous tues !»
Il dégaina son arme, et suite à cela tout le monde en fit de même, mais personne n’entrepris quoi que ce soit, de peur de déclencher un bain de sang. Mais soudain, une voix s'éleva
-Inconnu(e): «Cessons voulez-vous, rangez vos armes ! Nous n'allons quand même pas nous entre tuer pour quelques écussons ! Si ses jeunes gens ont pris la peine de venir jusqu'à moi pour m'offrir leur services, qui serai-je si je n'acceptai pas, au moins, de les entendre.»
Une silhouette apparut soudain et laissa place à un homme, devant qui les soldats s'écartèrent pour le laissé passer. Il se trouva bientôt devant Venant, rangeant son arme.
-L'homme: «Alors, de quoi voulez-vous m'entretenir ?»
Venant, épiant l'homme devant lui ne tarda pas à lui répondre
-Venant19: «Je ne veux en aucun cas m'entretenir de quoi que ce soit avec vous ! Je veux parler avec le Roi en personne !»
L’homme, devant lui, fronça les sourcils comme signe d'incompréhension.
-L'homme: «Mais... Vous l'avez devant vous, en chair et en os !»
Venant détourna le regard en direction de l’assemblé, il semblait chercher quelqu'un.
-Venant19: «Vous ne portez aucunement les couleurs de la Maison du Roi ! Mais celle de l'un de ces bannerets, je me trompes ?»
Un applaudissement solitaire jaillit soudain dans la pièce «Bravo !» s’exclama ensuite un homme qui tenter de se frayer un chemin jusqu’au trône.
-Le Roi: «Vous êtes un fin observateur ! Mais cela ne fais pas pour autant de vous un homme de confiance ! Pourquoi donc arborez-vous les couleurs de l'Empereur ? Vous voulez être tué ?»
-Venant19: «Sans vouloir vous manquer de respect mon Seigneur, je n'ai eu aucun mal à arriver jusque à vous, mais la vérité est que je n'ai aucunement eu le temps de revêtir une nouvelle armure ! Et le fait est que j'ai pris conscience de qui était véritablement l'Empereur, et j'aimerai le combattre à vos côtés ! Si vous l'acceptez !»
-Le Roi: «J'aimerai pouvoir vous faire confiance mais pour cela je vais avoir besoin de preuves ! Pour commencer, qui êtes-vous ?»
-Venant19: «Je me présente, je suis Venant19, et voilà Kathnis et 18 ! Nous fumes tous les trois des combattants formaient pour être les plus fines lames de l'Empereur, nous avons passez le plus claire de notre vie enfermé dans une Académie, au tréfonds de l’Empire, où nous avons été formés aux techniques de combats et de survies. Récemment, des missions nous ont été assignés, et nous y avons appris qui était vraiment ce soit disant «Empereur» ! Suite à cela nous avons fuis pour rejoindre vos rangs, et nous y voilà !»
-Le Roi: «19, 18 ? En voilà des «noms» peux commodes !»
-Venant19: «En effet, durant notre formation à l’Académie, nous nous sommes vue assignés des Numéros, sans doute pour effacer toutes traces d'une existence passé... mais certains d'entre nous ceux souviennent encore de leur prénoms ou de leur surnoms»
-Le Roi: «Intéressant..., maintenant que vous vous êtes présenté, il est de coutume que j'en fasse de même. Je me présente alors à mon tour, je suis Erwin neuvième du nom ! Suzerain des terres de l'Ouest, Pourfendeur de la septième armée, et détenteur des joyaux de Hurlevent ! Bien ! Maintenant que les présentations sont faites passons à l’étape suivante, si vous voulez réellement rejoindre nos rangs, il va falloir me montrer de quoi vous êtes capables, et plus important encore, me prouver votre engagement !»
Venant, qui ne voulait pas perdre de temps dans des missions futiles qui n’auraient que pour but de prouver ce qu’il savait déjà, pris une dangereuse initiative, alors qu’Erwin n’avait pas encore cessé de parler, le Sergent saisit son épée de sa main droite avant de reculer d’un pas pour prendre son appuis. Les Gardes royaux, ayant remarqué ce mouvement soudain, dégainèrent leurs épées et se placèrent devant les convives, tous le long du tapis centrale où personne n’était présent. C’est alors que dans l’incompréhension total de ses deux amis, Venant se mit à foncer, arme à la main, en direction du souverain, qui n’avait pas encore comprit ce qu’il se passait. Les Gardes eurent beaux essayer de le stopper, l’ex Sergent Impérial traversa la défense royale sans grande difficulté, bloquant un à un les coups des combattants tout en continuant d’avancer. Sa course terminé, il se trouvait maintenant juste à la hauteur du Roi, la pointe de sa lame au niveau de son cou. Et alors que les convives et la garde étaient désormais immobiles, retenant leur souffle en attendant l’action prochaine de Venant, celui-ci, contre toute attente rengaina son arme.
-Venant19: « Voilà ce dont je suis capable, comme mes amis le sont aussi. Et si il vous fallait une preuve de ma confiance, la voilà, j’aurai très bien pu vous tuer et m’en aller comme j’étais venu, cependant je ne l’ai pas fait, votre vie à bien trop d’importance à mes yeux ! Vous êtes le seul capable de m’aider à arrêter l’Empereur. »
-Erwin9 : « Eh bien dites-moi, vos manières sont peu commodes ! Mais vous dites vrai, je vous accorde donc ma confiance ! Tachez d’en faire bonne usage. Mes Hommes vont vous conduire aux baraquements, où vous pourrez passer la nuit. Demain je m’entretiendrai avec vous, et je vous confierez votre première mission. »
-Venant19 : « Merci Monsieur. »
C’est alors qu’il fit demi-tour, traversant de nouveau la pièce entière, d’un pas nonchalant, la main gauche sur le pommeau de son épée, et le cœur empli de satisfaction. Il frôla alors ses deux camarades encore abasourdis par ce qu’il venait de se passer, mais qui ne tardèrent pas à le suivre encore une fois.
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