Cerebrum

[jolou]

Dans un appartement d'un immeuble de type haussmannien en plein cœur de la capitale de l'Empire de Fortres, un homme probablement d'une classe aisé vient de se servir un verre de bourbon et s'en va allumer sa télévision. Il met une chaîne pour regarder sa série télévisé préférer quand la retransmission s’arrête pour lancez un flash spécial et une journaliste visiblement pressé s'élance alors.

Journaliste : Bonjours a tous, ici FlecheArgent de Canal-Fortress, ceci est un flash spécial, Fortress comme beaucoup d'autres nations dans le monde vient de passer en État d'urgence et l'Empereur a décrété la Loi Martial, l'armée est en train de se déployer dans toutes les grandes villes du pays, vous avez ordres de ne pas sortir de chez vous, restez chez vous !

Soudain, un bruit se fait de plus en plus entendre, on peut reconnaître le bruit des pâles d'un Hélico. L'homme, comme beaucoup d'autres certainement s'avance alors vers la fênetre la plus proche et peut ainsi remarquer plusieurs dizaines d’hélicoptères en train de s'avancer dans le ciel bleu de midi. L'homme se retourne alors vers la télévision où la journaliste continue de parler.

Journaliste : D'après nos informations, l'armée serait en train de bloquer certains quartiers de la capitale tandis que des citoyens essayerait de résister a l'armée qui est obligé de leurs tirée dessus.

On entend alors le bruit d'un hélico qui vient de se poser sur le toit de l'immeuble et après que le bruits des pâles s'est tue, on peut distinguer deux voix en trains de parler. Au bout d'une dizaine de minute, quelqu'un toque a la porte et notre homme se déplace alors pour l'ouvrir.

Lieutenant Keelan : Docteur Atlantis ? Je suis le Lieutenant Keelan, je suis envoyé par le Général Venant des affaires spatial de l'Empire, il veut vous voir tout de suite avant que ça parte en sucette .

Docteur Atlantis : Vous allez me dire ce qui se passe ?

Lieutenant Keelan : Dans l'hélico, je vous dirais tout ce que vous voudrez, mais le temps presse, ils sont pas loin d'ici.

Une fois dans l’hélicoptère, il décolle emportant les deux hommes au dessus de la ville. En passant au dessus d'une rue, on peut voir une ligne de soldat qui font face a des gens qui marche droit, raide, les bras tendu le long du corps marchant d'un pas lourd fixant l'infini avec les yeux. Face a cette marche de plusieurs centaines de personnes, les soldats conformément aux ordres sont obligé de tirer. Le Docteur Atlantis se retourne vers le lieutenant .

Docteur Atlantis : Allez vous me dire ce qui se passe ?

Lieutenant Keelan : Je vais vous dire ce que vous avez a savoir pour l'instant, mon chef vous fera un briefing plus fournis plus tard !
Comme vous le savez, il y a 5 mois, une de nos navettes a ramené une bactérie inconnu lors de son retour sur terre et elle a résisté aux nettoyage habituel. Vous et votre équipe l'avez alors analysés et étudié pendant 4 mois, puis vous vous avez prit vos vacance annuels de deux semaines. Le lendemain de votre départ, un de vos assistant a endommagé une cuvette dans laquelle se trouvait un échantillons, nous supposons qu'il a contaminé le reste de l'équipe, c'est la que tout s'emballe, le personnel de sécurité est contaminé et se met a attaquer le personnel non contaminé et s'empare du complexe qu'ils détienne toujours tandis que les scientifique se disperse a l'étranger en retournant dans leur pays d'origine, tout en contaminant des gens dans la capitale puis dans la province. Ce que vous venez de voir en bas, ce sont des contaminé.

Docteur Atlantis : Mais pourquoi les scientifique n'ont pas réagis de la même façons que les gardes ?

Lieutenant Keelan : ça c'est votre job, vous êtes le dernier scientifique qui a examiné de près cette bactérie sans être contaminé, c'est pour ça qu'on a besoin de vous ! Vous devez trouvez quelques chose qui puisse contrer la bactérie !

Docteur Atlantis : Je vois Un temps passe. Vous m'amenez où?

Lieutenant Keelan : On vous emmène a la base aérienne Jules Villix d'où vous serez évacué dans un lieu sécurisé en même temps que d'autres scientifiques,politicien et militaire.

Une dizaine de minutes plus tard, l'hélico survole la base Jules Villix. Depuis les airs, on peut voir l'agitation qui règne en dessus, tout le monde étant évacué soit par avion, soit par hélico, ce qui ressort le plus de cette base, c'est l'immense avion Impérial qui s'est poser dessus. L'hélico du Docteur se pose prés de l'avion Impérial puis le docteur descend tandis que le lieutenant lui dit.

Lieutenant Keelan : Vous prenez cette avion Il montre l'avion présidentiel On se reverra peut être !

Sur ce, l'hélico redécolle pour allez se poser quelques dizaines de mètres plus loin pour contribuez a l'évacuation. Le Docteur Atlantis est alors reçu un garde du corps qui l'accompagne sur l'avion qui décolle une dizaine de minutes plus tard.

[jolou]

Vers le nez de l'avion se trouve un lieu interdit aux simples visiteurs, seulement aux personnels essentiel. C'est la salle de commandement stratégique, celle où toutes les décision sont prise pendant les déplacement, celle où l'Empereur et ces conseillers se réunisse. Mais la dans cette pièce, se trône un gigantesque écran affichant une carte de l'Empire avec les principales villes indiqué dessus, on pouvait voir sur certaines villes des point rouge dont la signification ne laisse aucun doute et enfin, les principales unités militaire en marche vers les villes qui résiste encore.


Général S'adressant a un officier: Ou est mon aide de camps?

Officier : Il est partie s'occuper du Docteur Atlantis, le mettre au courant de se qu'on sait.

Général : Bien. Les Communications avec l'extérieur sont rétablie ?

Officier : Oui Général, nous avons une communications venant du chef des Solarys, il a réussi a s'enfuir.

Général : Passez le moi.

Alors sur l'écran, la carte disparais et affiche une vidéo de Edrixal, le chef de la république des Solarys, celui ci donne l'air d'être fatigué et s'adresse avec le souffle coupée par l'émotion des dernières heures.

Edrixal : Général en chef des armées de l'Empire de Fortress Valentin Venant... Je pensais que j'aurais affaire avec l'Empereur.

Général Venant : L'Empereur est mort, et nous n'avons pas eu le temps de nous occuper du gouvernement, je suis le nouveau chef de l'Empire et de ces forces.

Edrixal : Bien.. Bien.. C'est le chaos chez nous, moi et certains membre de la garde républicaine avons eu de la chance de sortir de la capitale, expliquez moi ce qui se passe.

Général Venant : C'est un virus, il est revenus avec une de nos navette spatial et nous l'avons étudier, mais cette bactérie nous a échappé, et manifestement, elle a évolué.

Edrixal Pointant du doigt a travers la vidéo : C'est donc votre faute ! Vous allez portez la responsabilité de cette catastrophe !

Général Venant : Du calme Mr le président, je ne pense pas que l'heure soit propice a une guerre entre nos deux nations. Il faut...

A ce moment du coté d'Edrixal entre un soldat affolé tandis que Edrixal se retourne. Le soldat a a peine le temps de finir sa phrase que deux soldats, visiblement anormaux entre et ouvre le feu sur le soldat et sur Edrixal, un des deux soldats s'approche de la Caméra.

Soldat : Vous....Esclaves.....Nous......Maître..

Suite a cette phrase, la communication se coupe et un écran noir apparait. Dans la salle de commande, personne n'ose dire quelque chose trop estomaqué par la mort de Edrixal mais surtout par la "conversation" avec un infecté. Après quelques instant de flottement, le Général se reprend et se retourne vers l'officier.

Général Venant : Bordel, cette bactérie est plus intelligente que nous le croyons.....

Officier : Général, une communication oral venant de la capitale, c'est le Colonel Goldax.

Général Venant : Passez le moi.

Le Général active son oreillette pour écoutez le Colonel et lui répondre.

Colonel Goldax : Demandons autorisation de replis d'urgence! Ils sont en train de débordez nos défense !

Général Venant : Négatif Colonel, vous devez tenir.

Colonel Goldax : Mes hommes sont en train de se retourner contre nous ! Oh mon dieu ! Il en arrive des nuées, ils tombe des fenêtres et se jette contre nous ! J'en ais plusieurs qui me suive ! Non lachez m..... AAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHH Après quelques instant la voix du Colonel change pour prendre un aspect sombe et saccadés Vous......Esclaves.....Nous....Maîtres....

[ORelio]

Visiblement, ils sont mal barrés face à la bactérie extraterrestre ^^

[jolou]

Le Colonel Destructeur ouvre la porte de la cabine du Docteur Atlantis et le trouve en train d'écrire dans un livre des données. Quand il voit le Colonel, il ferme le livre et se tourne vers lui. Il sent d'avance qu'il c'est passez quelque chose de mauvais.

Colonel Destructeur : Je venais pour vous faire un briefing, mais j'ai quelque chose de plus important a vous dire. On a réussi a communiquer avec la bactérie...

Docteur Atlantis Étonné : Ah bon? Qu'a t'elle dit?

Colonel Destructeur : Nous sommes ces esclaves, elle est le maître.

Docteur Atlantis Dubitative : Hum, elle a dû beaucoup évolué depuis son arrivée... Ce n'est plus une simple bactérie. Pour moi, c'est devenu un parasite ou un vers neuronal. Mais faite moi mon briefing, vu que je suppose que vous avez des infectés a me faire étudier.

Colonel Destructeur : En effet il sort un document en papier. Commençons par le commencement, l'Empereur est mort, et les membres du Gouvernement son supposé mort, le Général en chef des armées a prit le commandement. Nous nous dirigeons vers le base de Kourou d’où le général dirigera les forces resté sous notre commandement, et c'est la que ça se complique. Au niveau national, les principal villes sont tombés, nos forces se disperse et nous réussissons a garder qu'un faible contrôle sur les survivant. Mais nous gardons le contact avec certaines grandes bases comme celles du plateau d'Albion et nos forces navales ont reçu l'ordre de partir de leur base navales.

Docteur Atlantis : Vous avez une idée du nombre de mort?

Colonel Destructeur : Seulement dans la capitale. On estime que 80% de la population de la capitale est morte ou infecté mais nous avons perdus tout contact avec nos forces a l'intérieur. Mais comme vous le savez, les infectés se sont propagés dans le pays et dans le monde mais pour l'instant le plus fort taux d'infectés reste d’après des supposition chez nous.

Docteur Atlantis : Et hormis moi, vous avez des solutions? Je suis pas un sur-homme qui va trouver le réponse en un éclair.

Colonel Destructeur : Non. Mais plusieurs idée s'affronte. Moi je maintint que des frappes tactique nucléaire pourrait suffire a stopper le virus.

En s’appuyant sur la table, le Docteur Atlantis énonce un fait.

Docteur Atlantis : Donc vous n'avez aucune solution sérieuse?

Un ange passe.

Colonel Destructeur : Nous allons demandez a nos meilleurs intellectuel de trouver une solution Il hausse le ton comme pour se convaincre lui même et il la trouveront!

Sur ceux, le Colonel ressort de la cabine laissant le Docteur a ses occupations. Le Colonel se dirige alors vers la cabine du Général, celui était en train de s'allumer une cigarette.

Général Venant : Alors?

Colonel Destructeur : Il n'a rien dit qui montre qu'il soit contre votre prise de pouvoir et il a conscience qu'il est notre meilleur chance de victoire. Mais je continue a penser qu'un frappe nucléa....

Le Général le coupe alors par un geste de la main

Général Venant : Jamais, je ne lancerais une frappe nucléaire sur mon propre sol, mais vous pouvez réfléchir a la nécessite d'en lancez une chez nos voisins, par exemple les Solarys. Maintenant Colonel, sortez de ma cabine, je suppose que vous avez mieux a faire.

Le Colonel se dirige vers la porte mais le général l'attrape alors par le bras.

Général Venant : J'oubliez, vous avez bien caché la demande d'évacuation par hélico du Gouvernement?

Colonel Destructeur : Oui, mon Général, personne n'est allé les chercher a ma connaissance.

Général Venant : Maintenant, foutez moi le camp d'ici !

[jolou]

Voila un texte que j'avais écrit y'a quelque temps qui se déroule a Vesperia un jour après le départ du Docteur Atlantis, bref si vous aimer, dite le moi ça me ferait plaisir et me motiverait pour écrire la suite et me replonger dans l'écriture.


Vesperia. Capitale de l'Empire de Fortress, une ville calme malgré la multitude de gens qui travaille et se balade à l'intérieur mais comme beaucoup de villes dans le monde, le calme a disparu pour laisser place au vandalisme, à l'abandon et à la mort .Dans la capitale, règne le chaos, le désordre, les gens volent pour espérer vivre quelques heures voir quelques jours de plus. L'armée envoyé pour rétablir l'ordre et contenir les infectés a été exterminé, les soldats furent décimés les uns après les autres. Les quelques unités encore en vie se cache, de peur de connaître le même sort. Les derniers combats sont encore en cours près de la chambre du gouvernement où les gardes, dont la bravoure n'est plus à démontré, résistent toujours, attendant des hypothétique renforts promis par l'état-major et tente de protéger les derniers vestiges de l'Empire. Dans un appartement quelques rues plus loin, des hommes se font discret, à l'exception d’un, qui, suite à des cris dans quelques mètres plus bas, ce risque à un regard. Il peut apercevoir trois personnes se faire poursuivre par des infectés.

Sergent Sevaeb : Kana, laisse tombez, on ne peut rien pour eux...

Caporal Kanabos : Il suffirait que j'ouvre cette fenêtre et que je leur tire dessus...

Sergent Sevaeb : On ne fait rien tant que le lieutenant n'a pas repris ces esprits ! Le traumatisme est toujours présent...

Derrières les deux soldats, un homme en uniforme, le lieutenant, taché de sang, regarde dans le vide, ce remémorant sans cesse ce qu'il a vécu dans les derniers combats.
Il se rappelle deux heures plus tôt, quand il se rendit compte qu’ils ne pourraient plus tenir bien longtemps et qu'il été partis en informer le colonel Goldax son supérieur.

Lieutenant Iscar : Mon Colonel, on ne pourra plus tenir bien longtemps, les barricades de la 13 éme rue sont tombé et on signale des combats dans les immeubles aux alentours. Vous devez appeler le commandement pour demander l'autorisation de battre en retraite.

Colonel Goldax : J'allais le faire lieutenant, commencez les préparatifs.

Le lieutenant rejoint alors deux soldats à l'arrière: le sergent Sevaeb et le caporal Kanabos pour les aider à mettre le matériel dans les camions, après en avoir mis une partie, ce qu’ils voient les horrifies. Des infectés par dizaines se déplace dans les étages supérieurs des bâtiments. Le lieutenant court alors vers le colonel mais c'est trop tard, les infectés se jette sur le colonel et le lieutenant ne bouge plus, il peut voir la transformation du colonel tandis que les infectés s'attaque aux soldats sur les barricades. Quand le colonel se précipite vers le lieutenant, il est obligé de faire feu pour sauver sa vie. Et il reste ainsi stoïque, sans rien faire au milieu de la rue, il doit la vie au sergent et au caporal qui le force à se mettre dans un camion qu'ils abandonneront quelques rue plus loin tout en prenant le maximum de munitions.

Tandis que le Sergent secoue le Lieutenant pour lui faire reprendre ces esprits, celui-ci se réveille et d’un coup brusque se dégage du Sergent

Lieutenant Iscar : Qu’es-qui vous prend Sergent ?

Sergent Sevaed : J’essayais de vous faire revenir parmi nous. Depuis notre départ, vous n’avez pas parlé, pas bouger.

Lieutenant Iscar : Je …. re-visualiser la scène….

Caporal Kanabos : Il faut allez de l’avant. Nous devons partir et survivre.

Sergent Sevaeb : Kana, tu veux qu’on aille où ?

Caporal Kanabos : Il doit bien rester d’autres survivants ? On peut essayer de sortir de la ville !

Le Lieutenant se met alors debout, s’avance vers la table et y déploie une carte de la ville. Il fait ensuite signe aux deux soldats de venir.

Lieutenant Iscar : La chambre du Gouvernement. (Il en pointe l’emplacement) On avait reçu l’ordre, nous les officiers de s’y replier si nous perdons le contact avec nos unités pour organiser la défense. Et vu ce que j’y ai vu toute à l’heure, ils doivent encore résister.

Caporal Kanabos : Mais, la question est de savoir si on peut la rejoindre. Et j’en doute si tous les habitants de cette ville sont infectés.