[RP] Bien sur que oui, mon pauvre concombre...
Publié : 17 août 2014, 20:58
Bonjour les amis !
J'ai l'immense honneur vous présenter mon rp ( et oui je me lance)
Pour changer de mes confrères, j'ai décidé de me lancer dans un style un peu plus décalé qui se veut surréaliste et quelques fois comique. De plus, je pense qu'ajouter des rimes donne un côté agréable à lire, enfin, ça c'est vous qui jugerez.
N'hésitez pas à commenter et à dire ce que vous en penser, j'ai déjà pas mal d'idées pour la suite, donc si vous voulez que je continue, dites le.
> Un soir
> Dans la nuit noir,
> Je marchais vers le théâtre abandonné,
> Je vis des yeux briller dans l'obscurité, jusqu'à ce que j'entendis un bruit sourd résonner
> Je sentis comme une aura, une présence familière,
> Qui cela pouvait-être, le creeper, roi des grands père ?
> Non, c'était mon vieil ennemi, Ludovic l'homme cochon de Bourgogne,
> Je lui dit « Oh Oh Oh, si ce n'est pas ce gros sac tout pouacreux de Ludovic qui empoisonne ? »
> « Bien sur que oui, mon pauvre concombre,
> Je ne suis pas venu là pour jouer au ping pongre »
> Viens-là que je te tolchoque,
> Si jamais tu tiens a ton part choque... »
> Face a une telle provocation porcine,
> Il fallait à tout prix que je l'assassine,
> En effet, avec Ludovic c'est une longue haine,
> Une histoire aussi vieille que l'antiquité romaine
> En effet, dès ce cours de Science Nat'
> J'ai tout de suite su qu'il allait trainer dans mes pattes
> Je lui répondis: « Entre nous finit la guimauve,
> Je me suis libéré tel un fauve,
> Finit tes petites boutades
> Qui s'articulaient autour de cette grande mascarade,
> Sait tu ô combien j'ai souffert Ludovic ?
> Ma vie était loin d'être utopique,
> Ces brimades ne sont pas évaporables,
> Mais collantes comme le sirop d'érable.
> Il est temps que je te démasque
> Et a l'aide de mes touflasques,
> Je te transformerai en cochonaille
> Cela me suffira comme représailles... »
> Soudain, je le vis foncer sur moi
> Jusqu'à ce que j'aperçus son minois,
> Il n'avait pas changé,
> Malgré moi, c'était toujours la personne que j'aimais...
Co-écrit avec BakouDelaFontaine.
Je conçois qu'il y ait quelques mots peu familiers, si vous voulez des explications, n'hésitez pas !
Par pitié, ne lisez pas trop vite, et apprenez à lire entre les lignes.
J'ai l'immense honneur vous présenter mon rp ( et oui je me lance)
Pour changer de mes confrères, j'ai décidé de me lancer dans un style un peu plus décalé qui se veut surréaliste et quelques fois comique. De plus, je pense qu'ajouter des rimes donne un côté agréable à lire, enfin, ça c'est vous qui jugerez.
N'hésitez pas à commenter et à dire ce que vous en penser, j'ai déjà pas mal d'idées pour la suite, donc si vous voulez que je continue, dites le.
> Un soir
> Dans la nuit noir,
> Je marchais vers le théâtre abandonné,
> Je vis des yeux briller dans l'obscurité, jusqu'à ce que j'entendis un bruit sourd résonner
> Je sentis comme une aura, une présence familière,
> Qui cela pouvait-être, le creeper, roi des grands père ?
> Non, c'était mon vieil ennemi, Ludovic l'homme cochon de Bourgogne,
> Je lui dit « Oh Oh Oh, si ce n'est pas ce gros sac tout pouacreux de Ludovic qui empoisonne ? »
> « Bien sur que oui, mon pauvre concombre,
> Je ne suis pas venu là pour jouer au ping pongre »
> Viens-là que je te tolchoque,
> Si jamais tu tiens a ton part choque... »
> Face a une telle provocation porcine,
> Il fallait à tout prix que je l'assassine,
> En effet, avec Ludovic c'est une longue haine,
> Une histoire aussi vieille que l'antiquité romaine
> En effet, dès ce cours de Science Nat'
> J'ai tout de suite su qu'il allait trainer dans mes pattes
> Je lui répondis: « Entre nous finit la guimauve,
> Je me suis libéré tel un fauve,
> Finit tes petites boutades
> Qui s'articulaient autour de cette grande mascarade,
> Sait tu ô combien j'ai souffert Ludovic ?
> Ma vie était loin d'être utopique,
> Ces brimades ne sont pas évaporables,
> Mais collantes comme le sirop d'érable.
> Il est temps que je te démasque
> Et a l'aide de mes touflasques,
> Je te transformerai en cochonaille
> Cela me suffira comme représailles... »
> Soudain, je le vis foncer sur moi
> Jusqu'à ce que j'aperçus son minois,
> Il n'avait pas changé,
> Malgré moi, c'était toujours la personne que j'aimais...
Co-écrit avec BakouDelaFontaine.
Je conçois qu'il y ait quelques mots peu familiers, si vous voulez des explications, n'hésitez pas !
Par pitié, ne lisez pas trop vite, et apprenez à lire entre les lignes.