Collier.

[DélenTenreï]

J’étais encore allongée sur la route quand c'est arriver. A l'époque, je pensais que mon existence était une erreur.
Jusqu'ici, rien n'avait été difficile. Je n'avait pas eu d'amis parce que j'avais bénéficié d'une éducation à domicile. J'étais gâtée, tout ce que je voulais on me le donnait. Bien des personnes était jalouses de moi, mais j'y pouvais rien.
Mes parents se sont suicider parce que je ne souriait pas.Des fois je me demande s'ils étaient pas fous.
Bref, il n’empêche que je ne méritait pas ça. Foutu pendentif... Du moins, c'est ça qu'ils voulaient. Qui? Bah justement, je sais pas. C'est pour ça que je dit "Ils".




Voilà! J’espère que ça vous plaira! C'est a vous dans les commentaires de proposer une suite ou du moins des idées , je compte sur vous!

[Lawliet]

Quand on dit collier, j'ai envie de te répondre ...


BAGUE !

[Lygamie]

"Ils" étaient toujours habillés de couleurs sombres et tristes. Leur visage était masqués, mais a travers leurs bandages de tissus ensanglantés je pouvait apercevoir de la peau pale, presque grisâtre.
Malgré la pénombre de la nuit j'arrivais a déchiffrer les formes qui m’entourais. Une simple chambre meublée d'un lit et de quelques meubles quelconque s’étendait devant moi.
Je ne sais pas pourquoi ils prenaient soin de mon bien être ni de ma santé, mais ils tentaient désespérément de me faire esquisser un sourire, surement pour m'attendrir afin que je leurs donne ce qu'ils désirait, la pierre violette étincelante pendue a une chaîne d'argent que ma mère m'offrit a mon septième anniversaire. En réalité lors de se septième anniversaire j'avait déjà 13 ans. Mes parents oublièrent mainte et mainte fois la date de ma naissance et je rata ainsi énormément de fêtes.

Merci pour les vues, aDa_ je tiens compte de ta remarque je ferais surement de l'action dans les prochains paragraphe a venir. N'hésitez pas a me proposer des idées dans les commentaires, désolée de retard ! Kiss !

[Lygamie]

Peu m'importais le nombre d'effort que ces personnes en noirs faisait, je ne souriait toujours pas. Pris de rage l'un deux se munit d'un pieu de bois et tenta de me le planter dans la nuque. Sa ruse échoua par ma faute car d'une impulsion je me mit a attraper son bras et le tordu violemment bloquant ainsi l'arme s'approchant dangereusement de moi. Sans prendre compte de la souffrance de son partenaire une femme aux cheveux brun et aux yeux d'un couleur instable m'arracha le collier et essaya en vain, et en récitant quelques vers mélodieux, de produire quelque chose, surement d'ésotérique. Ses compagnons se moquèrent de sa prestation plutôt pathétique mais celle-ci d'un air désintéressé lança sa main en direction d'eux et d'une pulsion vengeresse leurs dit que pour eux s’était la fin. A ce moment ci ces cheveux brun et méché de rouge arrivant jusqu’à ces épaules se propulsèrent en direction du plafond et de la glace sortit de sa main gelant ainsi ces pauvres camarades.