HelloMinecraft

[center]#6 Qui a t-il après l'amour ?[/center]

"Il fut un temps où Mathys aimait Maître. Un temps où il l'adorait. Un temps où, il l'aimait de tout son coeur... Un temps où il le respectait, où il lui donnait tout son amour, malgré son corps de "Grand-père"... Ce temps-ci, en l'espace d'un an, il était terminé..."

Mathys avait maintenant 14 ans. Son corps n'avait pas beaucoup changé, depuis ces treize ans. Malheureusement, son esprit, si. Mathys en avait marre de rester ces journées à la maison, à rien faire, à rester avec Maître. Durant toute cette semaine, il fut des sorties, et il ne rentrait pas à l'heure...
Il était 23 heures. Maître, de son temps habituel, alla coucher Mathys vers 21 heures. De plus, Mathys se prenait pour un "vrai adolescent" et il disait presque tous les jours à Maître d'aller le coucher plus tard, de ne pas le prendre pour un bébé... Il disait que, 21 heures, c'est quand il avait 10 ans. Le bon vieux temps, quoi. - Heureusement que j'écris ces mémoires, car il ne s'en souviendrait surement pas -.
Il était donc 23 heures, quand il revenu de sa "petite balade" comme il l'appelait. En revanche, il eut promit à Maître de revenir vers 19 : 30. Il était partit vers 15 heures. Il était donc drôlement en retard. Mathys revenu, il franchit le seuil en roche taillée de la maison, et couru à toute vitesse, mais Maître, d'un simple geste, le fit revenir vers la cuisine.

Maître : Ah, enfin ! N'avais-tu pas promis de revenir vers 19 heures 30 ? Si, il me semble que si !

Mathys : Oui, désolé, j'ai eu, euh... Quelques imprévus...

Maître : Pardon ? Tu veux bien répéter ?

Mathys : J'ai dit : J'ai eu quelques imprévus !

Maître : Tu te moques de moi ?! 3 heures 30, 3 heures 30 ! Tu aurais du être ici depuis 19 h 30 ! Mathys, ce n'est pas un comportement digne de ce nom ! Comment ais-je pu t'élever comme ça ?! Tu as déjà de la chance de ne pas aller à l'école !

Mathys : Quoi ?! J'ai déjà de la chance de pas aller à l'école ?! Qu'est-ce que tu m'apprends, toi ? Tu m'apprends tous les jours, du soir au matin, au programme : "Techniques de combat, allez !" ! A.P.P.R.E.N.D.R.E, tu comprends ces lettres ?! C'est pas comme ci tu m'apprenais rien !

Maître : Donc, tu sais ce que s'est l'Imparfait ? Tu sais ce que c'est le système binaire ? Tu sais ce que c'est les procédés ?!

Mathys : Ben...

Maître : Non, pas de ben ! C'est fini maintenant ! Tu files dans ta chambre et je veux plus te voir avant demain matin minimum !

Mathys : Mais...

Maître : Pas de "Mais..." ! Dans ta chambre j'ai dis !

Mathys : ...

Mathys pensa que Maître était trop dur avec lui. Il avait tort. Maître, l'éduqua, lui faisait des surprises, des cadeaux, il lui donna une des armes ds plus importantes au monde, il se donna à lui... Et voilà ce qu'il mérite ? "Non, là, je dis stop!" se disait-il... Mathys, alla dans sa chambre. Il ne dormit pas. Il lui fallu quelques minutes pour avoir un idée horrible, mais qui, pour lui, serai la meilleure idée du siècle.

Mathys : Faut que je m'échappe par la fenêtre ! Je reviendrai jamais, où du moins, quand je serai grand, fort, et que je pourrai me montrer à Maître, et qu'il se dise : "Oh, mais comment est-ce que tu es devenu, Mathys ? Tu es si grand, si fort !"...

C'est bien ce que je disais, la meilleure idée du siècle, enfin, pour lui. Mathys ne se rendit pas contre du mal que cela pourrait lui faire, et du mal que cela pourrait faire à Maître. Il hésita un peu, et décida de penser positif. Il se parla à lui-même.

Mathys : Allez Math, faut que tu le fasses ! En même temps, tu pourras rencontrer d'autres personnes qui t'aimeront un peu plus que ce "Maître"... Quand je l'appelle, j'ai l'impression d'être un chien... "Oh, le chien à son Maître ! Oh le beau toutou ! Fais une galipette, petit chien de Maître, allez, fais le beau !"... Aaah, ça me donne des frissons dans le dos...!

Il décida alors de passer à l'attaque... Il ouvrit la fenêtre - Une des seules fenêtres de l'étage - et descendit sur le toit. Il avait préparé toutes ces affaires, qu'il avait enveloppé de de la couverture rouge, que tenait son lit. Il avait mis dedans : Des friandises, beaucoup de friandises, une gourde d'eau bien fraîche, avec deux où trois glaçons dedans, une tranche de pain, pas plus et un peu de beurre. Il avait trouvé tout ça dans la cuisine, qu'il avait pris en cachette juste avant de monter.

Mathys : J'prends presque pas de nourriture, j'ai mon épée et mon arc.

Pour sa tenue, il était muni des habits qu'il avait pris, pour aller faire un tour dans la ville futuriste, quand il avait 15 ans (Voir épisode #4). Il avait dans son sac : Son épée magique, un arc à flèche basique, et un petit canif, pour se défendre. Il tirait très bien à l'arc. Son épée était tenue par une sorte de "Porte-épée" qu'il avait accroché à son sac. Il avait mis principalement des armes, et outils de combats. Le voila fin prêt.

[center]*Fin ! Suite bientôt, au prochain épisode !*[/center]

Très bon RP Mathou , continues a écrire , J'adores !

Thib4250

Merci à vous, j'essaierai d'arranger ces légères petites choses plutôt "Désagréables" telles que les répétitions, et les fautes, désolé de ces petits désagréments !

[center]#7 En pleine nature...[/center]

Mathys était donc fin prêt. Il monta sur son lit, ouvra la fenêtre de sa chambre et sortit. Il franchit, cette fois, non pas le seuil en roche taillée de la maison, mais la fenêtre de la maison. Il prit, avant, quelques draps et quelques couvertures, qu'il attacha avec des noeuds, et qu'il fit passer par la fenêtre également. Il créa une sorte de "corde", pour enfin descendre en tenant les draps, les deux pieds collés au mûr en pierre de la maison. Il essaya de passer inaperçu, or, Maître, - Qui était devenu vieux - s'endormit vite. Mathys passa au dessus de la fenêtre, descendit encore un peu, et regarda. Maître était endormi, dans le fauteuil. Non, il n'y avait ni télé, ni ordinateur, ni téléphone. Ils étaient pourtant comme nous, en 2014. Maître refusait tout l'électronique, en revanche, il n'aimait pas beaucoup la ville futuriste, où il y'avait plus de technologie et de Wi-Fi que de citoyens. Mathys descendit donc, jusqu'à atteindre le sol. Il posa un pied, puis deux, et lâcha les draps. Il les repris, pour effacer toute trace. Il les mit dans son sac.

Mathys : Ah, me voilà enfin. J'aime le parfum de l'ombre et de la nuit ! C'est parti...

Mathys essaya de s'orienter, mais il n'y arriva pas. Il ne voyait pas plus loin que trois mètres devant lui, et il n'avait ni torche, ni lampe de poche. Il était connu que Mathys se perde, son sens de l'orientation n'était pas très fort. En revanche, il avait l'oeil, c'est à dire qu'il comprenait les choses très rapidement. Il était un peu perdu, et ne s'était jamais aventuré plus loin que la ville futuriste. Pendant la nuit, la forêt de Zénia était très sombre, très lugubre, et très glauque. Mathys était un peu fatigué, mais il refusa de dormir. Quand il aura trouvé un coin, ne serais-ce que près d'un lac, pour remplir sa gourde, il pourra alors enfin dormir comme il le veut. Il chercha, mais avant de dire le mot "Ouf !", un bruit ressemblant à quelque-chose qui fouille dans un buisson...

Mathys : Hein ? Attends, c'est quoi ça ? Chuut...

Mathys entendit le bruit, qui venait d'un buisson. Il fut si curieux que, sans se demander ce que c'était, il avança directement vers le bruit. A petits pas, il s'approcha, toujours un peu plus près... Il ne vit pas grand chose, mais sa vue était déjà habituée au noir. Ces yeux étaient en quelques sortes "infrarouges". Il avança donc, son arc à la main. Soudain, une ombre passa, à la quatrième vitesse. L'ombre était très petite, elle ne mesurait pas plus de 50 centimètres, et sembla avoir des poils. Elle se réfugia dans un "trou", qui lui servait de terrier. - Vous savez peut-être de quelle chose il s'agit -. Mathys s'approcha donc du trou où était rentrée l'ombre, pris son arc et tira. Il entendit un bruit strident, ressemblant aux pleurs et aux gémissements d'un chien. Il mit sa main dans le trou, et récupéra un lapin mort.

Mathys : Oh... J'ai tué... Pour la première fois de ma vie j'ai tué quelqu'un... Et, je trouve cela horrible ! Qu'est-ce que ce petit lapin à fait pour que je le tue ? Le pauvre, in ne faisait rien... J'ai vu la mort dans ces yeux !

Mathys comprit alors que tuer, c'est mal, mais combattre et faire le bien autour de soi, c'est bien. Il eût pitié de ce pauvre animal qui, poils soufflés par le vent froid et glacial de la forêt de Zénia, avait déjà atteint le "Paradis". Mathys attrapa une sorte de phobie, où du moins une sorte de pitié énorme, et se promit de ne plus jamais tuer. Il chercha un endroit pour dormir, il était trop fatigué. Il allait finir par s'écrouler. Il monta alors sur un arbre, non loin d'un point d'eau, se coucha sur une branche froide, recouverte de feuilles, et s'endormit enfin...

[center]*Fin ! Suite très prochainement, patience ![/center]

[center]"The rules of the Nature..."[/center]

Mathys se réveilla, calmement de sa branche. Il leva sa tête, puis son torse ensuite, sursauta, et tomba la tête la première...
Il avait entendu un autre bruit. Non pas celui du lapin, cette fois, mais un bruit plus gros, et plus lourd...

Mathys : Aaaaaaaah ! *BOUM* Aïe ! Que s'est-il passé ? Rho, j'ai trop mal à la tête...

Mathys reprit ses esprits, et se rappela le bruit qu'il eut entendu. Il se leva, et entendit alors un bruit, ressemblant à un enfant qui joue dans de l'eau, et qui fait "Plouf, plouf !"...
Il pensa tout de suite au lac, tout près de l'arbre où il avait dormi. Il se dirigea tout doucement, et vit quelque chose de très beau, et en même temps de très impressionnant.

Mathys : Ouah ! C'trop beau ! Attends, faut que je m'approche... Il vit un cerf, très grand, très modeste, d'une couleur qui alla du brun clair au roux. Le cerf buvait, tranquillement, dans l'eau très seine du lac. Avec le soleil du petit matin, la rose du matin qui reflète sur les feuilles et l'herbe, entre le vert clair et le vert foncé, cela était incroyablement beau. Un petit vent frais caressa les cheveux de Mathys, mais le soleil le réchauffa. Il donnait le bonheur à la forêt, il donnait de la vie, de l'aventure, de la luminosité... Que ferait-on sans cet unique soleil ? Se dit Mathys.
Après avoir admiré le cervidé assez longtemps, Mathys eût une petite faim. Il étala le draps en damier rouge et blanc de son lit sur l'herbe tout juste humidifiée, et installa son petit-déjeuner. Il décida de manger sain : Une pomme rougeoyante, qui vire du rouge au jaune, de l'eau saine de la maison, dans sa gourde en acier, une tranche de pain, et de la confiture à la cerise de la maison également. Il mangea donc.

Mathys : M..Miam, rouah, ça fais quand-même du bien de manger un peu ! *Gloup, gloup* Aaah !

Quand il eût fini de manger à sa faim, il rangea tout, replia le draps, et l'accrocha à un bâton, qu'il arracha d'un arbre. Il s'installa alors près du lac, et pris l'air du matin. Il était 11 heures. Il pensa tout de même à comment allait-il se nourrir quand il n'aura plus de nourriture, comment allait-il survivre ? Il ne savait pas...



Maître se réveilla également le matin, plus-où-moins en même temps que Mathys. Il regretta d'avoir crié sur Mathys la veille, même s'il avait raison. Il décida donc de se lever, et d'aller dans la chambre de Mathys pour lui présenter ces excuses, où pour parler de la veille, tout simplement.

Maître : *Toc, toc, toc !*

Il n'eût pas de réponse... Il recommença...

Maître : *Toc, toc, toc, toc !*

Toujours rien... Il recommença une fois, puis deux, puis décida d'entrer, car personne ne lui répondait, évidemment. Il entra, et vit le lit vide, la fenêtre ouverte, et... Et c'est tout...

Maître : *Inspire* Mathys ! Mathys, où es-tu ? Mathys ! Montre-toi, vite ! Mathys ?!

Il l'appela, le ré-appela, et continua... Rien, pas un mouvement, pas un geste, rien. Maître, malgré sa vieillesse donnée par le futur, connaissait Mathys, et il connaissait également ses envies, et ses faiblesses. Maître fondit alors en sanglots...

Maître : Oh... Mais, mais qu'est-ce que j'ai fais ! Je... Je suis un monstre ! Il...Il faut que je retrouve Mathys au plus vite... !

Il décida d'arrêter de sangloter. Il repris ses esprits, tout comme Mathys avec la branche d'arbre, et décida d'aller le chercher... Mais avant, il décida aussi d'aller rendre visite à de bons amis, qu'il connaissait depuis des lustres...

C'est à pleurer, tellement c'est beau et bien écrit. (Avec mon Rp plein de faute, je peut aller me rhabiller =/) Continue comme ça, Mathou. Je te souhaite bonne chance pour ton RP.

Oyez, oyez ! Moi, Mathou, j'ai l'honneur de vous présenter cet humble épisode tant attendu ! Cela faisait longtemps que je n'en n'avais pas posté... A cause de mes vacances ! J'ai maintenant le temps, et je vous présente ce joli petit épisode ! Bon moment !

_________________________________________________________________________________________________________________________________________________________

[center]#9 Un petit espoir...[/center]

Mathys se réveilla. Il avait dormit sur un tapis d'herbe hautes, légèrement humides, à cause de la rosée du matin. Il était près du lac, histoire de se désaltérer un peu, où de piquer une petite tête, selon ces envies... Mais il fallait bien partir de là un jour. Le jour où il n'aurait plus de nourriture, il devra aller chasser, où mendier, tel un S.D.F. C'est bien triste, et Mathys n'avait aucune envie de mendier. Alors, il se leva, pris toutes ces affaires, et partit. Mais avant, un petit bain dans le lac, pour la journée. Il se déshabilla, en sous vétements, et plongea. -Il n'avait pas pris de maillot, il n'était pas parti pour un stage de piscine olympique non plus...-

Mathys : *Plonge* *Sors la tête de l'eau* Aaaah ! Ce que ça fait du bien, un petit bain ! Elle est si chaude, en plus !

Il resta 15 bonnes minutes à patauger dans l'eau. Cela lui rappelait son enfance, plus particulièrement ces bains qu'il prenait dans la baignoire, en compagnie de Maître.
Après avoir fini de se rafraîchir un peu dans le lac, il sortit, s'essuya grâce au draps qu'il avait pris de son lit, et s'habilla. Toujours les mêmes vêtements que lors de son départ. Il repartit alors...
Il marcha beaucoup avant d'atteindre une sorte de petite colline. Il monta dessus, afin de voir plus clair sur toute la forêt. Il était déjà loin de sa maison. Il monta et il ne vu rien... Il se dit alors qu'il devait absolument trouver à manger. Il n'avait presque plus rien sur lui, il fallait qu'il agisse. Il avait 15 ans, Mathys devait se comporter en homme. Il observa toute la forêt à l'oeil vif, et il se concentra sur le moindre détail qu'il pût apercevoir.

Mathys : Là ! Je vois quelque chose ! Qu'est-ce que c'est que ça ?! Là, j'suis sûr d'apercevoir quelque chose !

Il avait raison, il apercevait bien quelque chose. Derrière de nombreux arbres feuillus, à feuilles vertes tapant, se trouvait quelque chose. Un bâtiment ! Il y'avait bel et bien un bâtiment derrière ces nombreuses feuilles ! Il regarda plus attentivement... Il pensa alors voir quelque chose bouger... Il regarda alors plus attentivement...

Mathys : C'est quoi ça ? Y'a quelqu'un !

Il y'avait bien évidemment quelqu'un. Une vieille dame, habillée strictement scrutait les alentours. Elle était dehors, accompagnée d'un chien, brun et blanc, oreilles levées. Le chien aboya, aboya, et aboya encore... Mathys pense qu'il l'eût vu... Il s'approcha alors de la maison, afin de peut-être, se sustenter, où s'abreuver.

[center]*Fin ! Suite au prochain épisode, et cette fois, bientôt ! Merci à tous ![/center][/u]

Toujours aussi bien écris, tu as beaucoup de talent, selon moi. J'ai hâte à la suite ^^

J'aime bien,continue.

[center]#10 Une maison bien mystérieuse...[/center]

Mathys avança de plus en plus. Il commençait à avoir faim, et, peut-être qu'il allait trouver honneur dans cette petite maisonnette ! Très discret, il avança jusqu'à un buisson. C'était le dernier obstacle avant la maison. Il avait descendu la colline où il espionnait. La vieille dame était toujours là, accompagnée de son chien. Le chien aboya, plus fort à chaque fois, jusqu'à ce qu'il voit bouger quelque chose dans le buisson...

Mathys : Mince ! Le chien m'a vu... ! Faut pas que je me fasse remarquer !

Le chien s'avança lui aussi, de plus en plus. Mathys resta immobile, sans aucun mouvement. Il ne bougea pas d'un millimètre. Le chien avança, encore et encore... Jusqu'à ce qu'il aboya. Il vu Mathys, et, d'un air joueur, courra sur lui. Mathys, lui, n'était pas très rassuré...

Chien : Ouaf ! Ouuuaf ! Ouif !

Mathys : Oulah ! Doucement ! Aaaah, me saute pas dessus ! Doucement, le toutou ! Douuucement... Calme-toi !

Chien : Ouaaaf ! Snif, sniif !

Le chien se servit de son flair et senti Mathys. Il sentait une odeur qu'il ne reconnût pas... Il commença encore à aboyer, de plus en plus...

Chien : Ouaf ! Ouuuuuaf ! Ouiiif ! Ouaf, ouaf, ouaf !

La vieille dame, qui eût entendu son chier aboyer, et encore aboyer, s'approcha elle aussi de Mathys et du chien. Elle s'avança, elle aussi, et elle finit par voir Mathys...

??? : Hein ? Qui s'est ? Bonjour, jeune homme ! Comment te prénommes-tu ?

Mathys : Je... Je m'appelle Mathys ! J'ai 15 ans, et... Je suis un peu perdu, en faite.

??? : Quoi ? Perdu ? Viens donc te réchauffer un peu dans la maison, non ? Je t'y invite ! Appelle-moi Thérèse !

Mathys : D'accord... Je me ferais une joie de venir avec vous... Dites-moi, il est gentil, votre chien ?

Thérèse : Ho ho, mais bien sûr, qu'il est gentil ! C'est une petite femelle, prénommée Léa ! Allez, entre, va ! J'ai quelques amis chez moi, mais tu ne les dérangeras pas !

Mathys : Merci, Madame.

Thérèse emmena alors Mathys dans son humble demeure qu'est sa maison. Léa les suivait, d'un air joueur. Elle aboyait encore, mais d'envie de jouer. Mathys en profita pour ramasser un bâton qu'il trouva sur la terrasse en galets de Thérèse, et pour le jeter à Léa. Elle couru le chercher, et le lui ramena. Mathys entra alors dans la maison.

Thérèse : Alors, oyez, oyez ! Je viens vous présenter ici présentement, Mathys, un jeune homme perdu qui vient nous demander de l'aide ! Faites-lui bonne impression !

??? : Bonjour, toi ! Quel âge as-tu ? D'où viens-tu ? Tu es d'ici, toi aussi ?

??? : Oh, il est si grand ! C'est un jeune bonhomme parfaitement habillé, ça ! Tu n'as pas de parents ?

Les gens ne finirent pas de lui poser des tas de questions. Mathys jeta un oeuil à tous les invités, et il s'arrêta sur un visage. Un visage qu'il lui paru si familier qu'il eût l'impression de l'avoir vu il y'a quelques jours... Et c'était vrai ! Qui était-ce donc ?

_________________________________________________________________________________________________________________________________________________________

[center]*Fin ! Suite bientôôôt ! Suspense, suspense ![/center]