L'histoire du soldat sans nom.
Publié : 29 nov. 2012, 02:51
Récit sur la 2eme guerre mondiale
C'était un doux matin de printemps et je finissait mon quart de travail. Je ne peux pas dire qu'être gardien de sécurité la nuit dans un musée était le métier qui me passionnait le plus au monde mais je gagnait mon pain. Les nouvelles sur cette nouvelle guerre faisaient rage et je craignait plus que tout au monde que la conscription soit acceptée au Québec car, malgré mon léger surpoids, je pouvais être envoyer au front sans avoir mon mot à dire. Il était 6 heure du matin et je quittait le musée pour me rendre dans le petit 4 et 1/2 ou j'ai passé mon enfance avec mes 5 frères et soeurs. Comme a chaque matin, j'achetai la gazette pour mon père qui avait de la difficulté a marcher. Je ne pris pas le temps de lire les gros titre, j'étais trop pressé de rentrer chez moi pour aller dormir. Une fois rentré, je lançai le journal au pieds de mon père, me deshabillai, claqua la porte de ma chambre et fut entrainé dans les bras de Morphée. À 6 heures, je me réveillai et je pu constater le plus gros silence que je n'ai jamais perçu. J'étais mal à l'aise. Peu après, je vis une petite larme glisser du tendre visage de ma mère pour finir sa chute sur son tablier. Mon père était assis sur son canapé et faisait un grondement sourd. Il me lança le journal a mes pieds sans dire 1 mot. Je pus lire dans les gros titre : CONSCRIPTION ACCEPTÉ. TOUT HOMME AYANT LES CAPACITÉ PHYSIQUES POUR ALLER AU FRONT EST OBLIGÉ DE SE PRÉSENTER AU BUREAU DE RECRUTEMENT LE PLUS PROCHE ! Mes mains commencères à trembler, je commencai à suer, et, finalement, j'éclatai en sanglot. je ne pouvais pas croire que j'allait aller me faire abattre pour les anglais dans cette guerre qui avait déjà tuer mes 2 frères et le mari d'une de mes 3 soeurs. En se 18 novembre 1941, j'eu le gout de mourir avant que mon temps soit venu...
Fin du premier chapitre
C'était un doux matin de printemps et je finissait mon quart de travail. Je ne peux pas dire qu'être gardien de sécurité la nuit dans un musée était le métier qui me passionnait le plus au monde mais je gagnait mon pain. Les nouvelles sur cette nouvelle guerre faisaient rage et je craignait plus que tout au monde que la conscription soit acceptée au Québec car, malgré mon léger surpoids, je pouvais être envoyer au front sans avoir mon mot à dire. Il était 6 heure du matin et je quittait le musée pour me rendre dans le petit 4 et 1/2 ou j'ai passé mon enfance avec mes 5 frères et soeurs. Comme a chaque matin, j'achetai la gazette pour mon père qui avait de la difficulté a marcher. Je ne pris pas le temps de lire les gros titre, j'étais trop pressé de rentrer chez moi pour aller dormir. Une fois rentré, je lançai le journal au pieds de mon père, me deshabillai, claqua la porte de ma chambre et fut entrainé dans les bras de Morphée. À 6 heures, je me réveillai et je pu constater le plus gros silence que je n'ai jamais perçu. J'étais mal à l'aise. Peu après, je vis une petite larme glisser du tendre visage de ma mère pour finir sa chute sur son tablier. Mon père était assis sur son canapé et faisait un grondement sourd. Il me lança le journal a mes pieds sans dire 1 mot. Je pus lire dans les gros titre : CONSCRIPTION ACCEPTÉ. TOUT HOMME AYANT LES CAPACITÉ PHYSIQUES POUR ALLER AU FRONT EST OBLIGÉ DE SE PRÉSENTER AU BUREAU DE RECRUTEMENT LE PLUS PROCHE ! Mes mains commencères à trembler, je commencai à suer, et, finalement, j'éclatai en sanglot. je ne pouvais pas croire que j'allait aller me faire abattre pour les anglais dans cette guerre qui avait déjà tuer mes 2 frères et le mari d'une de mes 3 soeurs. En se 18 novembre 1941, j'eu le gout de mourir avant que mon temps soit venu...
Fin du premier chapitre