Messagepar MrAmares22 » 31 mai 2016, 17:51
Pas de problème, ça me va on en discute et on cherche à améliorer le système c'est ok. Mais, je trouve que c'est un peu une perte de temps depuis le début.
Selon moi, la seule chose à faire ça serait d'officialiser les décisions des modérateurs chargé de guerre. Du genre quand une guerre est accepté un modo y est assigné et à d'une certaine manière le droit d'en faire ce qu'il semble bon. Ce modérateur est neutre et ne cherche pas à avantager qui que ce soit. Mais, si il voit des comportements qui ne sont pas fairplay il a le droit d'avertir et de prendre des initiatives si cela est incessant et nuie au déroulement de la guerre.
Dans mes guerres précédentes les modérateurs ont toujours bien joué leur rôle. Mais, effectivement par exemple, personne n'est au courant à quel point Polaryyyz a prit de son temps à essayer de régler le conflit dans la dernière guerre de notre faction.
Chaque côté faisait confiance à Polaryyyz sur sa capacité à être neutre et juste. Donc, personne ne s'est opposé à ses décisions quand il voyait que les choses tournaient en rond.
Selon moi à chaque guerre de sang les chefs des camps adverses devraient avoir le droit de valider si ils sont d'accord avec le fait que ce soit tel ou tel modo qui arbitre.
Si un camp n'est pas d'accord il explique ses raisons (Elles doivent être foutrement bonne) pour lesquelles il ne fait pas confiance au modo en question.
Une fois "l'arbitre" validé par les deux camps, celui-ci a le droit de prendre des décisions plus strictes pour le bon déroulement de la guerre. Personne n'a le droit de le contredire, car au départ les deux camps se sont mis d'accord sur le fait qu'ils lui faisaient confiance quoi qui se passe.
Comme ça les modérateurs en charge peuvent prendre des décisions en prenant bien en charge des circonstances. Car, comme un grand sage a déjà dit (HeumPolaHeumHeumRyyyzHeum): Aucune guerre n'est écrite à l'avance. Il faut évolué selon les circonstances que ce soit pour ceux qui se font la guerre et ceux qui la supervise.
Une fois deux par deux rassemblés
Nous partirons le poing levé
Jamais la peur d'être blessés
N'empêchera nos cœurs de crier